Type de texte à corriger : Nouvelle dans l'univers de mon fo
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Souhaitez-vous des remarques sur le style ? : oui (en option)-non
Style de correction voulu : simple
Textes à corriger :
Je compte sortir une petite nouvelle d'une vingtaine de chapitre, probablement un à deux par mois. Mais avant cela je suis curieux de voir combien de faute je peux faire malgré une grande application de ma part.
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- Prologue:
- Dans un laboratoire de recherche humaine, deux hommes travaillaient bloc-note dans une main et café dans l'autre. Chacun vêtus d'une blouse blanche, les cheveux en bataille et une paire de gants noire. Ils regardaient tous deux au travers d'une vitre la fourmilière d'hommes en tenue de décontamination rouge circulant entre les couveuses manipulant les consoles et vérifiant les différentes jauges et indices, s'assurant que chaque système soit parfaitement fonctionnel.
- Tu sais comment ça se passe sur le front ? Demandant inquiet l'un des deux scientifiques.
-Mal, mais il semble que ça commence à s'engueuler en face pour le partage des territoires qu'ils nous ont pris. Ça nous donnera du temps, en plus il parait que nos travaux auraient permis à une autre équipe d'avancer sur un gros projet. Ils vont surement augmenter notre financement après ça.
Son interlocuteur restait perplexe, après tout avant même le début de la guerre il avait déjà brisé tellement de tabous. Pour lui, leur jeu était clair, la déclaration de cette guerre n'était qu'une excuse pour justifier tous les tabous qu'ils avaient brisés et le caractère ignoble et inhumain de leurs travaux.
- On aurait pu facilement attendre la fin de nos recherches pour amorcer cette guerre, mais l'opinion publique se serait probablement retournée contre eux. Cette défaite n'est que le prequel de notre victoire, au prix de nombre d'entre nous. J'espère juste que jouer les dieux ne nous coûtera pas plus cher que ce que nous payons déjà pour lui.
-Nous rétablirons à nouveau un âge d'or en ce monde, même si comme à l'époque il faudra tacher nos mains de bien pire qu'un peu de sang.
Une atmosphère froide s'était emparée de la pièce et seuls les cliquetis de leurs doigts sur les claviers et les ventilateurs des ordinateurs bourdonnants se faisaient entendre. Les deux scientifiques savaient très bien ou menaient leur travail, toutefois l'un d'eux avait un objectif bien plus égoïste.
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Cette nuit-là les deux scientifiques encore et toujours dans la même petite pièce partageaient un café dans une ambiance beaucoup plus relaxé que quelques mois plus tôt. L'un d'entre eux en particulier tournait doucement sur sa chaise tandis que l'autre encore très calme profitait de cette pause pour lire ses notes et annoter des données sur un rapport. La machine à café sifflait préparant alors la prochaine tournée pour une nuit qui s'annonçait longue, toutefois le scientifique tournant sur sa chaise interrogea soudainement son collègue.
-Hé bien, qui aurait cru que tout cela mènerait à la création de telles armes. À coter nous sommes de petit joueur... Devant le silence de son collègue, il se saisit d'un ton plus grave. Comment se porte le sujet ?
-Duquel tu parles ? répondit-il froidement.
-Cesse de faire l'idiot, nous savons tous les deux duquel je te parle. Tu sais c'est malsain pour toit d'agir de la sorte envers un sujet, qu'importe, ce quelle est. Penses-tu honnêtement pouvoirs continués de la leur cachés, de toute manière ils ont déjà trouvé son remplaçant. Elle pourrait bien être épargnée, peut-être même pourrait-elle avoir une vie normale.
L'autre scientifique leva finalement les yeux de ses papiers et s'enfonça dans son siège, calmement il plia ses lunettes et d'un coup de petit pas se fit rouler jusqu'à la vitre avant d'appuyer sur un bouton pour illuminer la pièce et les couveuses. Soupirant, le dos tourné a son interlocuteur, il prit finalement le temps de lui répondre.
-Ne te fait pas plus idiot que tu ne l'es, elle est une menace pour eux. Au mieux, il la détruirait et au pire ils l'utiliseraient. Je ne veux pas lui donner la même vie que les poupées qu'ils ont créé pour cette guerre. C'est ma fille après tout.
-Épargne-moi tes âneries, jamais...
Ils furent brusquement interrompus par de multiples explosions provenant de la surface, les deux scientifiques se regardèrent partageant un regard d'incompréhension. Il était pourtant à des kilomètres d'un quelconque front, personne ne devrait pouvoir les attaquer ici. Après quelques minutes de doute, une voix retentit dans les mégaphones, elle annonça l'ordre d'évacuation d'urgence du complexe avant son auto-destruction. Le premier scientifique se mit à courir dans le couloir, tout le monde marchait dans la même direction. Les consignes étaient simples dans cette situation, rejoindre les ascenseurs et évacuer avant de faire exploser les charges. Mais le second avait une autre idée en tête, il attrapa ses lunettes et quitta la pièce d'un pas rapide.
Il parcourait les couloirs revenants du vestiaire, les lieux semblait désert. Il lui fallait presser le pas s'il voulait agir avant que les premiers ascenseur ne remonte, malgré la profondeur à laquelle il se situait il pouvait ressentir chaque explosion et pensait même que l'un des gratte-ciel au-dessus d'eux avait du s'effondrer. Même s'ils arrivaient a sortir, quoi qu'il se passe dehors il était dur d'envisager d'y survivre. Finalement il atteignit le centre de sécurité, il n'y restait plus que deux hommes.
-On a des rapports de la hauts ? demandais complètement stresser l'un des gardes.
-Non, rien. On a plus de nouvelle depuis l'ordre d'évacuation. Je ne veux pas mourir ici...
En effet pour lancé l'ordre de destruction du complexe il fallait que deux hommes avec des permission suffisante, heureusement en tant que chef du laboratoire il avait toutes les autorisation nécessaire. Il s'adressa au garde avec le plus grand calme dont il pouvait faire preuve.
-Je mourrais avec mon oeuvre, rejoins les ascenseurs et amorce l'évacuation.
Le personnel de sécurité ne se fit pas prié et quitta la pièce en courant, maintenant seul, les deux hommes s'échangèrent un regard sans partager un mots. Tout deux savait qu'il allait mourir et discuté n'aurait pas changer grand chose a se fait. Sur les écrans le garde d'un peu plus tôt rejoignit le reste du personnel dans la salle des ascenseurs. Les deux hommes partagèrent un dernier regard résigné avant d'enfoncé et tourner leur clés. L'écran de la console changea de couleur et afficha des messages d'avertissement, le garde se décida finalement a ouvrir la bouche.
- Moi qui avait peur de mourir seul, cela est un honneur de mourir au coté d'une personne tel que vous, il repris son souffle. Pour un monde meilleur !
Un tir retenti et le garde s'éffondri au sol, le scientifique encore fumant posa l'arme sur la console et se mit a pianoté frénétiquement sur le clavier. Soudainement le collègue du scientifique entra dans la pièce, apparemment soulager de finalement retrouver son chef.
-J'ai tout préparer pour évacuer Alice, il ne me manque plus que ... Il remarqua finalement le corps qui gisait sur le sol et fit un pas en arrière. Mais.. qu'est ce que vous faites ?
-Je fait en sorte que ma fille n'ai pas a vivre dans notre monde. Il avait peur de finir seul, qu'il se rassure personne ne sortira d'ici. Vivant ou Mort.
Un second tir raisonna, le scientifique plaça sa main sur le tableau de bord et finalisa l'amorce de la procédure de décontamination biologique. Le complexe tout entier se verrouilla, les ascenseurs interrompirent leurs monté alors que le système d'aération du complexe amorça la diffusion du gaz dans tout le complexe. Depuis son siège il observa son personnel suffoquer alors que leurs organes fondait et leur corps se décomposait sous leur yeux, même sur l'autre face de cette planète il aurait pu entendre leurs hurlement de douleurs. Mais rien n'avait suffisamment de valeur à part sa précieuse enfant.
Je compte sortir une petite nouvelle d'une vingtaine de chapitre, probablement un à deux par mois. Mais avant cela je suis curieux de voir combien de faute je peux faire malgré une grande application de ma part.
Dernière édition par Eiv le Lun 6 Fév - 20:23, édité 1 fois