Bonjour,
Je souhaitais relancer mon forum de SF Reign in Blood qui a été progressivement abandonné suite à des défections dans le staff. J'ai encore quelques joueurs fidèles au poste, et une co-admin restée également à mes côtés. Quitte à relancer je me disais autant opérer quelques changements, et faire limite un reboot. Du coup j'ai fait un nouveau contexte, dont j'aimerais avoir votre avis:
Dans le futur la terre est devenue si toxique, que toute pluie est acide, que toute rivière est empoisonnée. Les Hommes se sont enfermés dans des cités aux hauts murs pour se protéger et sous d'épais dômes pour se prémunir des pluies. La technologie est telle qu'on remplace peu à peu ses membres par du métal et que l'on bouscule la biodiversité présente dans la nature. En effet, les animaux ne sont plus que des clones tandis que les originaux sont gardés dans des zoos High-Tech. L'humanité est si dévoyée qu'une partie a évoluée en des déchirures et des tares. Elle s'oublie entre drogue, mondes fictifs issus de la réalité virtuelle et gigantesques fêtes sans fin. Le véritable pouvoir repose entre les mains de méga-corporations qui contrôlent des armées privées.
Voudriez-vous vivre dans ce monde là ?
Toute la question est bien sûr comment sommes nous en arrivés là. Y a-t-il un début à la décrépitude ? Je l'ignore, pour beaucoup, ça a été la folie des Etats-Unis, pour d'autres la catastrophe écologique, en vérité, tout a empiré de manière invisible. Nos cités se sont couvertes de lourds nuages et un jour, ces nuages ont craqués en relâchant des pluies acides qui ont rongés nos chairs, les industriels ont trouvés plus simples de cloner les animaux que nous avions besoin de manger, comme les céréales étaient devenues des OGM. Certains pensent que c'est à cause de ces manipulations génétiques que nous avons finit par muter. Un jour des enfants sont nés, différents. On ne s'en est pas rendu compte tout de suite, c'est quand les déchirures sont apparus qu'on a compris, l'horreur qui nous attendait.
Nous sommes le futur, pensent-ils, ces pitoyables mutants, ceux qu'on appelle les Dvoïniks, mais leurs pouvoirs ne sont que des abominables difformités. Comment pourrait-on voir en eux le futur alors qu'ils se déshumanisent à chaque instant ? J'aimerais voir dans les Gumns un futur possible pour l'humanité, mais ces soldats de métal, ces cyborgs ne sont qu'une pâle imitation de l'humanité, que des cadavres animés. Je sais, qu'ils ne sont qu'une continuation de ce que nous avons entrepris en changeant nos corps putride, atrofiés, gorgés de toxines en métal, en engin hyper sophistiqués imitant parfaitement l'humanité fantasmé que nous portions alors en nous. Nous vivons dans un futur dévoyé, un futur noirci, de cendres et rongés par l'acidité putride de la terre que nous avons empoissonnés. Nous sommes perverti, nous sommes rongés par la maladie, encerclés par la toxicité omniprésente, nous sommes des spectres, des âmes mortes. J'aime à croire que les infectés finiront par nous avoir, et ronger nos os, qu'ils achèveront notre décrépitude.
Quand les tout premiers mutants sont apparus, ça a été l'occasion pour les gouvernements de fermer leurs précieuses frontières de cercler nos cités devenues des mégalopoles d'hauts et infranchissables murs. Nous sommes devenus nos propres prisonniers. Internet qui symbolisait tant la liberté a été l'instrument de la tromperie. Ceux qui l'avait créer, ceux qui le portaient en eux, ces mégacorporations issus des géants de l'informatiques, ceux qu'on surnommaient en riant les big brothers se sont avérés être les tyrans qu'ils paraissaient être. Ils nous contrôlent désormais. Ils ont endormis nos esprits. Nous faisons la fête inlassablement dans les cités d'or qu'ils tissent pour nous dans des mondes virtuels, nous assommes de drogues et assurent ne vouloir que notre sécurité. Pourtant, quiconque essaie de franchir ces murs ne revient jamais. Nous sommes prisonniers, et un jour, nous finiront par être nous aussi la proie de ces armées privées, de ces blades runners. Pour le moment ils ne traquent que les mutants, mais je sais qu'un jour, cela ne leur suffira pas. Qu'ils verront en nous une brève et illusoire lueur de résistance. Mais nous ne résistons plus guère.
Nous avons vendu notre âme aux Bratva, aux mafias rouges. Elles seules ont le pouvoir de subvenir à nos besoins, à nous, les plus pauvres. Car seuls les riches vivent librement, nous ne faisons qu'agonir lentement, attendant que les mutants déchirent nos chaires par vengeances ou que les infectés nous dévorent par dévotion aux dieux sombres, aux dieux anciens et oubliés.
Je souhaitais relancer mon forum de SF Reign in Blood qui a été progressivement abandonné suite à des défections dans le staff. J'ai encore quelques joueurs fidèles au poste, et une co-admin restée également à mes côtés. Quitte à relancer je me disais autant opérer quelques changements, et faire limite un reboot. Du coup j'ai fait un nouveau contexte, dont j'aimerais avoir votre avis:
Dans le futur la terre est devenue si toxique, que toute pluie est acide, que toute rivière est empoisonnée. Les Hommes se sont enfermés dans des cités aux hauts murs pour se protéger et sous d'épais dômes pour se prémunir des pluies. La technologie est telle qu'on remplace peu à peu ses membres par du métal et que l'on bouscule la biodiversité présente dans la nature. En effet, les animaux ne sont plus que des clones tandis que les originaux sont gardés dans des zoos High-Tech. L'humanité est si dévoyée qu'une partie a évoluée en des déchirures et des tares. Elle s'oublie entre drogue, mondes fictifs issus de la réalité virtuelle et gigantesques fêtes sans fin. Le véritable pouvoir repose entre les mains de méga-corporations qui contrôlent des armées privées.
Voudriez-vous vivre dans ce monde là ?
Toute la question est bien sûr comment sommes nous en arrivés là. Y a-t-il un début à la décrépitude ? Je l'ignore, pour beaucoup, ça a été la folie des Etats-Unis, pour d'autres la catastrophe écologique, en vérité, tout a empiré de manière invisible. Nos cités se sont couvertes de lourds nuages et un jour, ces nuages ont craqués en relâchant des pluies acides qui ont rongés nos chairs, les industriels ont trouvés plus simples de cloner les animaux que nous avions besoin de manger, comme les céréales étaient devenues des OGM. Certains pensent que c'est à cause de ces manipulations génétiques que nous avons finit par muter. Un jour des enfants sont nés, différents. On ne s'en est pas rendu compte tout de suite, c'est quand les déchirures sont apparus qu'on a compris, l'horreur qui nous attendait.
Nous sommes le futur, pensent-ils, ces pitoyables mutants, ceux qu'on appelle les Dvoïniks, mais leurs pouvoirs ne sont que des abominables difformités. Comment pourrait-on voir en eux le futur alors qu'ils se déshumanisent à chaque instant ? J'aimerais voir dans les Gumns un futur possible pour l'humanité, mais ces soldats de métal, ces cyborgs ne sont qu'une pâle imitation de l'humanité, que des cadavres animés. Je sais, qu'ils ne sont qu'une continuation de ce que nous avons entrepris en changeant nos corps putride, atrofiés, gorgés de toxines en métal, en engin hyper sophistiqués imitant parfaitement l'humanité fantasmé que nous portions alors en nous. Nous vivons dans un futur dévoyé, un futur noirci, de cendres et rongés par l'acidité putride de la terre que nous avons empoissonnés. Nous sommes perverti, nous sommes rongés par la maladie, encerclés par la toxicité omniprésente, nous sommes des spectres, des âmes mortes. J'aime à croire que les infectés finiront par nous avoir, et ronger nos os, qu'ils achèveront notre décrépitude.
Quand les tout premiers mutants sont apparus, ça a été l'occasion pour les gouvernements de fermer leurs précieuses frontières de cercler nos cités devenues des mégalopoles d'hauts et infranchissables murs. Nous sommes devenus nos propres prisonniers. Internet qui symbolisait tant la liberté a été l'instrument de la tromperie. Ceux qui l'avait créer, ceux qui le portaient en eux, ces mégacorporations issus des géants de l'informatiques, ceux qu'on surnommaient en riant les big brothers se sont avérés être les tyrans qu'ils paraissaient être. Ils nous contrôlent désormais. Ils ont endormis nos esprits. Nous faisons la fête inlassablement dans les cités d'or qu'ils tissent pour nous dans des mondes virtuels, nous assommes de drogues et assurent ne vouloir que notre sécurité. Pourtant, quiconque essaie de franchir ces murs ne revient jamais. Nous sommes prisonniers, et un jour, nous finiront par être nous aussi la proie de ces armées privées, de ces blades runners. Pour le moment ils ne traquent que les mutants, mais je sais qu'un jour, cela ne leur suffira pas. Qu'ils verront en nous une brève et illusoire lueur de résistance. Mais nous ne résistons plus guère.
Nous avons vendu notre âme aux Bratva, aux mafias rouges. Elles seules ont le pouvoir de subvenir à nos besoins, à nous, les plus pauvres. Car seuls les riches vivent librement, nous ne faisons qu'agonir lentement, attendant que les mutants déchirent nos chaires par vengeances ou que les infectés nous dévorent par dévotion aux dieux sombres, aux dieux anciens et oubliés.