Bonjour ! Je bosse sur un nouveau projet et, le reste du staff et moi-même, avons rédigé un contexte. Je suis curieux de voir s'il est compréhensible, s'il donne envie et si vous avez des remarques à faire, donc le voici. Tout est bon à prendre alors je vous remercie d'avance !
Noren. Un petit bout de terre qui s’enfonce dans la mer, protégé du reste du monde par une chaîne de montagnes réputée infranchissable. Pendant des siècles, ce patchwork de territoires variés a été le théâtre d’affrontements violents. L’empire d’Ivria a longtemps cherché à s’étendre vers l’Ouest, aux dépens du pays Qiang, mais tout ceci a changé et la situation de tout le continent pourrait s’en trouver bouleversée.
Au sein de l’Empire, la rumeur et l’incompréhension courent. Il a suffi d’une rencontre entre le nouvel et tout jeune empereur et le grand heirst, l’oracle officiel, pour que toutes les opérations militaires en cours soient interrompues. D’après certains, si le religieux a quitté sa retraite dans la montagne, c’était qu’il avait une prophétie alarmante à révéler, prophétie qui a imposé l’arrêt des campagnes. Pour d’autres, le vieil homme est seulement venu conseiller l’adolescent couronné et cette paix apparente n’est que le calme avant la tempête…
Son vieil ennemi, le territoire Qiang, a d’abord eu du mal à croire à cette trêve inespérée. Pourtant, petit à petit, les échanges diplomatiques et économiques entre les deux pays reprennent. Après tout, les Qiang sont pragmatiques : les affaires sont les affaires, peu importe que leurs clients d’aujourd’hui soient leurs adversaires d’hier et peut-être de demain.
Cependant, les routes ne sont pas aussi sûres qu’on pourrait le croire. La guerre ne sévit plus mais son interruption a laissé le champ libre aux nomades du désert Nakhti, qui ont quitté leur pays natal pour hanter les grands axes commerciaux. Une vraie épreuve pour les Qiang et les Ivrians, qui doivent faire front commun pour s’opposer à eux.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres : libérés de leurs anciens bourreaux, les tribus sédentaires du désert peuvent enfin quitter les enceintes des villes et s’ouvrir au monde. L’occasion pour eux de découvrir les influences extérieures mais aussi d’écouler leur artisanat, qui connaît un essor sans précédent.
L’Empire, cependant, garde les yeux tournés vers le royaume Naidii. Ce pays, à commencer par ses gouvernants, a toujours exprimé des velléités indépendantistes. Aussi quand, à la surprise générale, la reine a affirmé que le royaume était, est et sera toujours un territoire ivrian, la réaction du peuple ne s’est pas fait attendre. De véritables soulèvements ont éclaté. Des châteaux sont mis à sac, tous les symboles du pouvoir ivrian sont attaqués. Face à ces rebelles, la réaction du gouvernement reste molle. Peut-être croit-il que tout cela ne durerait pas, mais il se trompe.
Cependant, un évènement inattendu pourrait venir compliquer encore la situation : un objet est tombé du ciel et s’est écrasé dans un coin reculé de l’empire d’Ivria, près de la frontière avec le désert Nakhti. Cet objet, c’est le Vidar 87-04, un vaisseau spatial. Un vaisseau terran qui, après avoir erré cinq siècles durant, a découvert l’exo-planète qu’il espérait mais à laquelle il ne croyait plus. Cependant, une erreur d’appréciation de la gravité a transformé l’atterrissage en crash.
Les pertes humaines sont élevées mais les pertes matérielles se sont révélées plus grandes encore. Si les réserves de nourriture ont été épargnées, presque toutes les armes et une partie du matériel ont été détruites dans l’accident. Handicapés par ces pertes, les 107 874 Terrans survivants ne peuvent envisager d’explorer leur nouvel environnement. Leurs priorités : offrir une sépulture décente aux défunts, inventorier ce qui leur reste, mettre sur pied un camp de fortune. Et, peut-être plus difficile encore : ignorer les silhouettes qu’ils aperçoivent du coin de l’œil et les murmures qu’ils croient entendre entre les arbres.
Comment les autochtones vont accueillir ces nouveaux venus, en ce temps où leurs propres situations sont en pleine évolution ?
Au sein de l’Empire, la rumeur et l’incompréhension courent. Il a suffi d’une rencontre entre le nouvel et tout jeune empereur et le grand heirst, l’oracle officiel, pour que toutes les opérations militaires en cours soient interrompues. D’après certains, si le religieux a quitté sa retraite dans la montagne, c’était qu’il avait une prophétie alarmante à révéler, prophétie qui a imposé l’arrêt des campagnes. Pour d’autres, le vieil homme est seulement venu conseiller l’adolescent couronné et cette paix apparente n’est que le calme avant la tempête…
Son vieil ennemi, le territoire Qiang, a d’abord eu du mal à croire à cette trêve inespérée. Pourtant, petit à petit, les échanges diplomatiques et économiques entre les deux pays reprennent. Après tout, les Qiang sont pragmatiques : les affaires sont les affaires, peu importe que leurs clients d’aujourd’hui soient leurs adversaires d’hier et peut-être de demain.
Cependant, les routes ne sont pas aussi sûres qu’on pourrait le croire. La guerre ne sévit plus mais son interruption a laissé le champ libre aux nomades du désert Nakhti, qui ont quitté leur pays natal pour hanter les grands axes commerciaux. Une vraie épreuve pour les Qiang et les Ivrians, qui doivent faire front commun pour s’opposer à eux.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres : libérés de leurs anciens bourreaux, les tribus sédentaires du désert peuvent enfin quitter les enceintes des villes et s’ouvrir au monde. L’occasion pour eux de découvrir les influences extérieures mais aussi d’écouler leur artisanat, qui connaît un essor sans précédent.
L’Empire, cependant, garde les yeux tournés vers le royaume Naidii. Ce pays, à commencer par ses gouvernants, a toujours exprimé des velléités indépendantistes. Aussi quand, à la surprise générale, la reine a affirmé que le royaume était, est et sera toujours un territoire ivrian, la réaction du peuple ne s’est pas fait attendre. De véritables soulèvements ont éclaté. Des châteaux sont mis à sac, tous les symboles du pouvoir ivrian sont attaqués. Face à ces rebelles, la réaction du gouvernement reste molle. Peut-être croit-il que tout cela ne durerait pas, mais il se trompe.
Cependant, un évènement inattendu pourrait venir compliquer encore la situation : un objet est tombé du ciel et s’est écrasé dans un coin reculé de l’empire d’Ivria, près de la frontière avec le désert Nakhti. Cet objet, c’est le Vidar 87-04, un vaisseau spatial. Un vaisseau terran qui, après avoir erré cinq siècles durant, a découvert l’exo-planète qu’il espérait mais à laquelle il ne croyait plus. Cependant, une erreur d’appréciation de la gravité a transformé l’atterrissage en crash.
Les pertes humaines sont élevées mais les pertes matérielles se sont révélées plus grandes encore. Si les réserves de nourriture ont été épargnées, presque toutes les armes et une partie du matériel ont été détruites dans l’accident. Handicapés par ces pertes, les 107 874 Terrans survivants ne peuvent envisager d’explorer leur nouvel environnement. Leurs priorités : offrir une sépulture décente aux défunts, inventorier ce qui leur reste, mettre sur pied un camp de fortune. Et, peut-être plus difficile encore : ignorer les silhouettes qu’ils aperçoivent du coin de l’œil et les murmures qu’ils croient entendre entre les arbres.
Comment les autochtones vont accueillir ces nouveaux venus, en ce temps où leurs propres situations sont en pleine évolution ?