Demande d'avis pour une annexe d'Ozeriah (univers SF)

Bonjour ! 
J'aurais aimé avoir votre avis sur une annexe en particulier car je ne sais pas quoi ajouter à la fin, si certaines phrases sont mal tournées aussi (par exemple), etc.

Le but est de résumer l'histoire d'une des planètes incluse dans le contexte afin que le membre ait la possibilité d'en connaître davantage sur les groupes, etc. J'espère que vous allez comprendre :)

Le contexte à la demande d'Elenthil

Spoiler:

Voilà donc !

Autrefois, Septies était une planète encore habitable avec une situation sociale très favorable. Le domaine de la science et de la médecine était extrêmement développées et peu de citoyens mourraient de faim. Les spations vivaient presque une aire de paix. Mais combien de temps cela dura ? Cela semblerait trop peu aujourd'hui puisque cela fait des générations que la planète est en crise.


Comment est-ce donc possible ? Comment une planète avec une telle évolution à pu se retrouver sous le joug la Discorde ? Il a fallut d'un nouveau représentant de la planète, un seul, et tout se transforma si vite que personne n'eût le temps de réagir, ou bien ils ne furent pas entendus. Comment n'ont-ils pas réalisé ce qui leur arrivait ? Tel la grenouille se faisant cuire à petit feu, Klargion mijotait une politique de plus en plus prometteuse mais qui divisa bientôt la population.


Il avait du charisme, de l'éloquence et de la prestance. Tout le monde l'aimait, ses conseillers politiques comme son peuple. Mais pour le bien de leur planète, ils divisèrent peu à peu les classes sociales. Dans quel but ? Optimiser la vie de la cité. Les plus pauvres virent leur lieux de vie rasés et échangés par des bâtiments de grande envergure, et furent déplacés dans des coins plus périphériques et reculés par rapport à la ville. Cela semblait une bonne idée pour tout le monde, car les plus pauvres avaient désormais des maisons plus propres, modernes et nouvelles et le seul problème qu'ils rencontraient était, selon les contraintes de leur nouveau logement, aillaient voir s'attribuer un nouveau travail plus adapté à leurs compétences. Beaucoup purent trouver un travail convenable et bien payé, d'autres se virent assignés aux usines et à la déchetterie de la ville principale. Mais cela n'était pas si grave, car ceux étant déjà sans emploi avaient enfin de quoi gagner de l'argent pour subvenir à leurs besoins. Était-ce donc mal vu ? Non. Mais pour certains, cela commençait à titiller leurs esprits avisés.


Ensuite, une usine prêt des quartiers résidentiels des lieux les plus pauvres de la Capitale , puis des gardes assignés aux entrées des quartiers riches pour empêcher les classes inférieures à entrer dans leur secteur pour « dégrader » celui-ci. De plus en plus de tâches ingrates furent assignées à la « basse classe » avec comme argument la redevance qu'ils doivent montrer chaque jour envers leur bienfaiteur Klargion. Si l'un de ces habitants dit de « basse classe » venait à refuser une de ses obligations, il verrait son salaire habituel réduit. Puis les sanctions se dirent de plus en plus lourdes, jusqu'à l'emprisonnement durant lequel ces bons à rien étaient « éduqués ». Ensuite, c'est le nombre de naissance qui était compté par famille chez les moins riches afin de diminuer le taux de pauvreté. Afin de remédier aux problèmes des maisons parfois trop grandes, elles furent réaménagées pour ne compter qu'une femme, un homme et un enfant. Ainsi, les enfants majeurs furent assignés à d'autres habitations mais bénéficiant cependant d'un travail préalablement assigné par l’État de la Capitale. Les enfants les plus âgés des familles nombreuses furent envoyés dans une pension afin d'être formés et éduqués non seulement pour respecter le quota d'enfant assigné par familles pauvres, mais également pour améliorer les compétences de ceux-ci afin qu'ils soient plus utiles à la société.


Finalement, le mariage inter-classe devenait interdit et tous les citoyens devaient porter un badge numérique pour que leur position soit contrôler constamment dans la Capitale pour empêcher les nombreuses exactions qui avaient déjà eu lieu dans les quartiers riches. Des groupes anarchistes et révolutionnaires furent créés petit à petit, grossissant de plus en plus. Il y avait parfois-même de riches spations au départ qui malheureusement étaient contrôlés lorsque les puces électroniques devinrent obligatoires. Mais cela ne les empêchaient pas d'agir dans leur coin, préparant une révolution toute aussi notable.


Les manifestations et les actes révolutionnaires de plus en plus violents. La Capitale commençait à couler et afin de ne pas alarmer les autres habitants de la planète, Klargion administra les mêmes précautions qu'il avait prises sur la ville principale. Mais ce fut une erreur tragique qui détermina bien vite l'histoire de Septies. Les partis révolutionnaires se sont étendus sur toute la planète et cela en peu de temps comme ils voulaient agir en conséquence. Klargion tomba et plus personne ne vint au pouvoir après avoir dévasté toute la Capitale. Il ne restait que des débris, des cendres et des cadavres. Les bâtiments les moins abîmés servaient désormais de refuge aux habitants en alerte.


Maintenant, tout le monde voit rouge.

Coucou Ches =)

Petit truc perso avant de commencer à donner mon avis, serait-il possible de mettre en spoiler le contexte ? Je trouve que ça m'aide bien pour me situer dans un monde (surtout quand celui ci est inventé de toutes pièces).

Voici maintenant mon avis. J'ai sauté tout ce qui était fautes diverses, mais si tu souhaites que je te les donne, pas de soucis, il suffit juste de me le dire ^^

De ce qu'on voit d'un premier point de vue de cette annexe, tu respectes bien une structure claire, qui permet de suivre une chronologie dans les évènements et nous laisse un peu imaginer le sentiment des habitants.

Dans le système, tu mets bien en avant les pauvres. Par contre tu ne parles pas vraiment des autres classes comme la moyenne et la haute. Comme si ceux ci n'ont pas eu de problèmes et que la colère vient vraiment du "bas peuple" (un peu comme un système de moyen âge par exemple ou l'histoire de la révolution). On ne sait pas comment les autres vivent ? Ce qui les embêtent dans ce système ? Peut être le manque de liberté, le côté trop strict et encadré... A toi de voir.

Il a fallut d'un nouveau représentant de la planète

Ce que j'ai mis en gras ne sonne pas très bien quand on lit, essaie de voir pour une autre formulation.

Comment n'ont-ils pas réalisé ce qui leur arrivait ?

Pareil, phrase compréhensible mais qui ne sonne pas très bien à la lecture, à reformuler.

Beaucoup purent trouver un travail convenable et bien payé,

Si tu parles des pauvres là, je ne comprends pas, si ils ont un travail bien payé, pourquoi n'ont-ils pas basculé dans la classe moyenne ?

Mais pour certains, cela commençait à titiller leurs esprits avisés.

Le mot "avisés" m'embête. Certes ça peut passer si on parle de prudence mais n'y aurait-il pas un mot plus fort pour montrer justement les avertissements ? Et la phrase en elle même pourrait être légèrement reformulée également pour être plus pertinente.

Ensuite, une usine prêt des quartiers résidentiels des lieux les plus pauvres de la Capitale , puis des gardes assignés aux entrées des quartiers riches pour empêcher les classes inférieures à entrer dans leur secteur pour « dégrader » celui-ci

Le "Ensuite" est trop abrupt dans ce début de paragraphe. Je te conseille de tourner la phrase de cette manière. "Isoler les plus pauvres n'était que le commencement/début. Puis une usine fut construite près des quartiers résidentiels..." ou "Cela commença par ..., ensuite... et pour finir ..."/

En quoi ça dérange la création d'une usine chez les plus pauvres ? Peut être donner un élément qui montre en quoi ça impacte. C'est la première fois que tu parles aussi de Capitale alors que tu parlais de grande ville un paragraphe avant. Quelle est l'importance de cette capitale ? Comment les consignes furent suivies dans les autres villes ? En fait, dans tes premiers paragraphes, on se doute qu'il s'agit d'une ville en particulier puisque tu parles de la ville, de la grande ville mais tu sautes ensuite directement à capitale. Soit tu restes à capitale et tu expliques brièvement comment ça fonctionne ailleurs, soit tu expliques que le système est appliqué dans les différentes villes.

Ensuite, c'est le nombre de naissance qui était compté par famille chez les moins riches afin de diminuer le taux de pauvreté. Afin de remédier aux problèmes des maisons parfois trop grandes, elles furent réaménagées pour ne compter qu'une femme, un homme et un enfant. Ainsi, les enfants majeurs furent assignés à d'autres habitations mais bénéficiant cependant d'un travail préalablement assigné par l’État de la Capitale. Les enfants les plus âgés des familles nombreuses furent envoyés dans une pension afin d'être formés et éduqués non seulement pour respecter le quota d'enfant assigné par familles pauvres, mais également pour améliorer les compétences de ceux-ci afin qu'ils soient plus utiles à la société

Rajouter peut être également qu'une loi était sortie, forçant les gens à ne faire qu'un seul enfant. Là il n'y a pas de réelle menace (mis à part l'éloignement familial). On peut voir que pour les familles nombreuses d'avant, le surplus d'enfants étaient amenés dans une pension mais une fois que cette règle est passée, que se passait-il pour réduire le taux et éviter de faire de nouveaux enfants ? Car là ça ne fait que déplacer le problème. Et les enfants en pension passent-ils dans la classe moyenne ? Ou restent-ils dans la classe pauvre ?

Finalement, le mariage inter-classe devenait interdit et tous les citoyens devaient porter un badge numérique pour que leur position soit contrôler constamment dans la Capitale pour empêcher les nombreuses exactions qui avaient déjà eu lieu dans les quartiers riches. Des groupes anarchistes et révolutionnaires furent créés petit à petit, grossissant de plus en plus. Il y avait parfois-même de riches spations au départ qui malheureusement étaient contrôlés lorsque les puces électroniques devinrent obligatoires. Mais cela ne les empêchaient pas d'agir dans leur coin, préparant une révolution toute aussi notable.

Sépare la phrase du mariage et de la surveillance avec le badge. Ce sont deux éléments différents qui ne vont pas ensemble. Mettre un point permettrait de bien assimiler les deux éléments. J'ai du mal aussi à comprendre pour les riches ici. Puisque tu n'en parles pas vraiment dans la description, on ne sait pas trop comment ils vivent actuellement. On peut également imaginer que les groupes anarchistes et révolutionnaires concernent surtout les pauvres et pas les autres puisque tu ne dis pas si ils vivent bien ou pas.

La phrase sur les riches spations contrôlés, je ne la comprends pas en quoi c'est malheureux pour eux. N'ont-ils pas le droit de se promener où ils veulent ? Je pense que le manque d'infos dessus ne nous aident pas pour nous mettre à leur place.

Les manifestations et les actes révolutionnaires de plus en plus violents. La Capitale commençait à couler et afin de ne pas alarmer les autres habitants de la planète, Klargion administra les mêmes précautions qu'il avait prises sur la ville principale

Donc là, tu annonces que la grogne du peuple devient plus visible. Sauf que tu dis que le dirigeant ordonna les mêmes précautions ailleurs sur la planètes pour ne pas alarmer. Mais alarmer de quoi ? Si un système ne marche pas, il ne va pas reproduire la même erreur, au risque d'avoir sur les bras une révolte planétaire non ? C'est tout le monde en même temps, sinon les nouvelles peuvent vite passer pour faire blocus avant que les choses se mettent en place. Et quelles précautions ? Le système de division des classes ? Ou autre chose ?

Klargion tomba et plus personne ne vint au pouvoir après avoir dévasté toute la Capitale. Il ne restait que des débris, des cendres et des cadavres. Les bâtiments les moins abîmés servaient désormais de refuge aux habitants en alerte.

Là je pense que tu peux parler du nouveau système de la société. Pour moi ce n'est pas assez décrit. Que devienne les riches ? Les pauvres ? Y-a-t-il un renversement de situation ? Y-a-t-il une armée de militaires en déroute ? Est-ce que le nouveau système est basé sur la loi du plus fort maintenant ? Il nous manque la situation actuelle et je pense que c'est ça qui est intéressant à dire.

C'est du genre "Avant c'était une planète où les gens vivaient en harmonie. Ensuite un dirigeant décida de séparer la population selon leur niveau de richesse afin de garantir une meilleure justice pour tous. Mais ses mesures opprimaient plus le peuple, surtout les pauvres qui se sentirent, au fur et à mesure des nouvelles contraintes établies, de plus en opprimés et isolés. Alors bon nombre d'eux eux menèrent une révolution, ne supportant plus ce système, accompagnés de certains riches et moyens pour des raisons x ou y. Le dirigeant fut renversé et la capitale complètement saccagée. Aujourd'hui, les habitants vivent en petits clans, s'installant là où ils le souhaitent, sur un système qui met en avant le plus fort ou le groupe le plus influent".

C'est un truc comme ça. Enfin c'est juste un résumé de tous les éléments pour te montrer le cheminement, le fil conducteur et l'évolution de la planète. Et surtout, parler de la situation actuelle que tu n'as pas abordé (même si c'est peut être dit dans une autre annexe, il faut au moins une phrase pour montrer la hiérarchie mise en place. Clans ? Loi du plus fort ? Autre ?)

Maintenant, tout le monde voit rouge.

Cette phrase n'est pas vraiment utile. Je pense que tout le monde a vu rouge, dès le moment où les révolutions se sont mises en marche. Par contre, dire qu'à l'heure actuelle la planète est livrée à elle même, qu'il n'y a pas d'ordre, pas de loi, et que les habitants sont constamment sous tension car on ne sait jamais ce qui se passera le lendemain car tout change d'un jour à l'autre me semble déjà un peu plus précis.

Voilà j'espère que ça ne te dérangera pas. J'ai mis beaucoup de questions de réflexions afin que tu réfléchisses un peu plus en détail. Pas besoin de faire des gros pavés de développement. Juste faire des phrases courtes avec des mots clés peuvent suffire.

Egalement, fait attention avec la répétition des mots. C'est à cause de la longueur de tes phrases. Parfois tu enchaînes les "et", des "ensuite" qui se suivent, j'ai aussi vu "pour" deux fois dans la même phrase. Essaie de tourner les phrases différemment pour éviter la redondance. Je peux t'indiquer les endroits à reformuler mais c'est à toi de me dire si tu le souhaites ou pas. Je me suis surtout concentrée sur le contenu et quelques maladresses de style, après ça ne me dérange pas de te citer les endroits qui se répètent, afin d'avoir une meilleure liaison entre chaque phrase et/ou partie.

Valà désolé pour le pavé ^^" J'espère que ça t'aidera un peu.

Je te remercie de ton avis qui a bel et bien été pris en compte ! 

J'ai également ajouté le contexte au premier post.

Voilà donc la réécriture de l'annexe:

Autrefois, Septies était une planète habitable et prospère. Les domaines de la science et de la médecine étaient extrêmement développés et peu de citoyens mourraient de faim. Les spations vivaient presque une ère de paix. Combien de temps cette situation dura-t-elle ? Cela semble trop peu aujourd'hui au vu de la situation critique que subie la planète actuellement.


Comment est-ce possible ? Comment une planète avec une telle évolution a pu se retrouver sous le joug de la Discorde ? Il n'a fallut que d'un dirigeant, un seul, et tout se transforma si vite que personne n'eût le temps de réagir, ou bien ils ne furent pas entendus. N'ont-ils pas réalisé ce qui leur arrivait ? Telle la grenouille se faisant cuire à petit feu, Klargion mijotait une politique prometteuse qui divisa bientôt la population après son élection.


Il avait du charisme, de l'éloquence et de la prestance. Tout le monde l'aimait -ses conseillers politiques comme son peuple. Mais pour le bien de leur planète, il divisa peu à peu les classes sociales. Dans quel but ? Optimiser la vie de la cité. Les plus pauvres virent leur lieu de vie rasé et remplacé par des bâtiments de grande envergure, déplacés à la périphérie de la ville. Cela semblait être une bonne idée pour tout le monde. Les plus pauvres avaient désormais des maisons propres, modernes et neuves. Le seul problème qu'ils rencontraient était que, selon les contraintes de leur nouveau logement, ils aillaient voir s'attribuer un nouveau travail adapté à leurs compétences. Certains trouvèrent un emploi convenable et bien payé, d'autres se virent assignés aux usines et à la déchetterie de la ville principale. Mais cela n'était pas si grave, car ceux étant déjà sans emploi avaient enfin de quoi gagner de l'argent pour subvenir à leurs besoins. Était-ce une si mauvaise chose ? Non. Seulement cela commençait à titiller les esprits les plus avertis.


Isoler les plus pauvres n'était que le commencement. Une usine fut installée à côté des quartiers résidentiels des lieux les plus pauvres de la Capitale qui encombrait l'atmosphère de nombreux débris et les déchets de cette dernière étaient jetés dans une déchetterie non loin de la zone. Puis des gardes se virent assignés aux entrées des quartiers riches afin d'empêcher les classes dites inférieures de pénétrer dans le secteur dans le but de "dégrader" ce dernier.


De plus en plus de tâches ingrates furent assignées à la « basse classe » avec comme argument la redevance qu'ils doivent montrer chaque jour envers leur bienfaiteur Klargion. Si l'un de ces habitants dit de « basse classe » venait à refuser une de ses obligations, il verrait son salaire habituel réduit. Puis les sanctions se firent de plus en plus lourdes, jusqu'à l'emprisonnement durant lequel ces bons à rien étaient « rééduqués ». Ensuite, une loi sur le nombre de naissance vit le jour pour les moins riches afin de diminuer le taux de pauvreté. Elle avait également pour but de remédier aux problèmes des maisons parfois trop grandes et furent réaménagées pour ne compter qu'un couple d'un enfant. Ainsi, les enfants majeurs furent redirigés vers d'autres habitations, bénéficiant cependant d'un travail préalablement assigné par l’État de la Capitale. Les enfants les plus âgés des familles nombreuses furent envoyés dans une pension afin d'être formés et éduqués non seulement pour respecter le quota obligatoire, mais également pour améliorer les compétences de ceux-ci afin qu'ils soient plus utiles à la société. Beaucoup de ces jeunes gens purent monter dans la société au rang de classe moyenne.


Finalement, le mariage inter-classe devint interdit. Tous les citoyens devaient porter un badge numérique pour que leur position soit contrôlée de manière constante dans la Capitale pour éviter les nombreuses exactions qui ayant déjà eu lieu dans les quartiers riches. Des groupes anarchistes et révolutionnaires furent créés, petit à petit, grossissant de plus en plus. Il y avait parfois même de riches spations qui étaient malheureusement contrôlés lorsque les puces électroniques devinrent obligatoires. Mais cela ne les empêchaient pas d'agir dans leur coin, préparant une révolution toute aussi notable. 


Pourquoi les riches se sont-il impliqués dans cette bataille ?  La raison est très simple. Les spations de lettre et déjà bien engagé politiquement voyaient une politique de censure s'immiscer dans leurs actions. Les écrivains un peu trop surveillés et récusés commencèrent à bouillir en plus de certaines maisons d'édition, parfois. Mais ce n'est pas tout, car la famille politique opposée à Klargion disparaissait peu à peu. C'était trop étrange pour être innocent.


Les manifestations et les actes révolutionnaires étaient de plus en plus violents. La Capitale commençait à couler et afin de ne pas alarmer les autres habitants de la planète, Klargion fit en sorte de couper l'herbe sous le pied de la presse afin de ne pas informer la planète de la situation de la Capitale. Mais ce fut une erreur tragique qui détermina bien vite l'histoire de Septies. Les partis révolutionnaires se sont étendus sur toute la planète et cela en peu de temps comme ils voulaient agir en conséquence. Klargion tomba et plus personne ne vint au pouvoir après avoir dévasté toute la Capitale. Il ne restait que des débris, des cendres et des cadavres. Les bâtiments les moins abîmés servaient désormais de refuge aux habitants en alerte.


Aujourd'hui, c'est la loi du plus fort et le culte du Chaos qui règne sur Septies. On ne sait depuis combien de temps cela dure. Mais si cela s'arrête un jour, personne ne l'oubliera.

Coucou

Alors tu as bien fait les petits changements ^^ C'est déjà plus précis. Mais on va encore un peu gratter à droite à gauche si ça ne te dérange pas Il y a des choses que je n'avais pas regardé avec attention à la première lecture, au temps pour moi

Telle la grenouille se faisant cuire à petit feu, Klargion mijotait une politique prometteuse qui divisa bientôt la population après son élection.

En fait cette phrase sonne bizarre. Si tu regardes bien les deux mots que j'ai mis en gras, c'est comme si Klargion était la grenouille qui se faisait cuire à petit feu, or il me semble que c'est plutôt la population de cette planète qui se fait enfumer par ce nouveau dirigeant. Je te propose donc soit de remanier la phrase, sauf qu'il faut faire attention, si tu gardes grenouille et population, la population fait penser à un ensemble alors que la grenouille fait solo, donc à changer un des deux. Soit tu changes le début de la phrase, désignant Klargion sous une autre métaphore. Est-il quelqu'un de sournois ? Avide de pouvoir ? Révolutionnaire ? Ou bien pensait-il faire tout cela dans l'intérêt de la population sans sombres pensées ?

Mais pour le bien de leur planète, il divisa peu à peu les classes sociales

Ici je te conseillerais de rajouter à la suite de cette phrase "selon un/plusieurs niveau(x) de richesse". A toi de voir si ça sonne mieux au pluriel ou singulier. Il s'agit justement de laisser le lecteur imaginer qu'il va y avoir plusieurs classes même si toutes ne seront pas développées (comme la classe moyenne qui est abordée plus tard).

Elle avait également pour but de remédier aux problèmes des maisons parfois trop grandes et furent réaménagées pour ne compter qu'un couple d'un enfant

Ainsi, les enfants majeurs furent redirigés vers d'autres habitations, bénéficiant cependant d'un travail préalablement assigné par l’État de la Capitale.

Ici en fait, tu dis dans la première phrase que les maisons ont été réaménagées pour n'accueillir qu'un couple avec un enfant mais dans la phrase suivante tu dis que les enfants majeurs se retrouvent dans d'autres habitations. On se demande alors si ils sont seuls ou en colocation ? Car en fait, les faire changer d'habitat n'est pas une solution au problème de réduire le taux de pauvreté (si ceux-ci vivent toujours dans les quartiers pauvres). Les laisser chez leurs parents ou les changer d'habitat n'a pas vraiment d'impact sur l'aspect économique, juste l'aspect famille. Ou alors c'est juste une histoire d'apparence (faire croire que parce qu'ils ont une maison pour eux, le patrimoine augmente). Et as-tu réfléchi aussi comment ça se passait les unions ainsi que les déménagements ? Si un garçon majeur veut se marier avec une fille majeure qui rejoint l'autre ? En partant du principe que tous les jeunes adultes majeurs sont séparés dans des maisons, on peut se demander comment ça se passe. Tu n'es pas obligée de développer non plus ce point là mais c'est juste histoire d'y réfléchir un peu et rajouter une phrase parlant de cette organisation (ou bien il y a des mariages arrangés par les autorités pour remplir les maisons ?).

Beaucoup de ces jeunes gens purent monter dans la société au rang de classe moyenne.

Là c'est plutôt quelque chose de bénéfique je dirais si ils peuvent monter dans la classe moyenne. Mais je ne sais pas ce que tu avais prévu à la base. Pour toi et ton annexe, est-ce une bonne chose ? ou pas ? Si c'est une bonne chose, alors tu peux dire que monter dans la classe moyenne permet aux jeunes gens d'envoyer quelques enveloppes d'argent à leur famille pour les aider dans leur situation précaire. Si c'est plutôt négatif alors tu peux mettre en avant l'éloignement familial et l'accès interdit à la zone des pauvres. (Dans le genre de réflexion : Avoir une situation plus intéressante, ça sauve mais au prix de ne plus voir sa famille restée dans la zone pauvre)

Les spations de lettre et déjà bien engagé politiquement voyaient une politique

Le mot utilisé sonne un peu bizarre. Tu peux parler plutôt des "auteurs littéraires", ça englobe plusieurs métiers de lettres. Je te laisse regarder un peu la définition ICI si ça t'intéresse.

Mais si cela s'arrête un jour, personne ne l'oubliera.

En fait dans cette phrase on ne sait pas trop de quoi tu parles. De la loi ? De la révolution ? Je pense que tu parles de la situation actuelle. Alors je te propose plus une phrase sous cette forme.

"Il est impossible d'estimer le nombre d'années écoulées depuis la chute de Klargion. Une seule chose est sûre, si la situation venait à évoluer, personne n'oublierait ces temps troublants qui agitèrent la planète Septis."

Ce n'est qu'une idée, tu n'es pas obligée de la prendre mais c'est quelque chose dans ce style là qu'il faudrait travailler.

Enfin, je vais finir par une question sur ton annexe et jeu (pas dans le sens de revoir le forum hein ^^ mais juste pour te montrer si il y a encore quelques précisions à rajouter)

Est ce qu'un nouveau joueur qui veut jouer un spation aura vu la révolution ainsi que la déclin de la planète ? (c'est à dire si il était présent quand les lois restrictives et tyranniques se sont enchaînées ou au contraire, qu'il n'a connut que la période actuelle ? juste avec la situation actuelle).

Si oui, (connu le déclin de la planète) => Mettre peut être une précision sur l'organisation des familles pauvres
Si non => Pas besoin de précisions

Voilà pour mon deuxième jet

Sinon tu n'es pas obligée de modifier tout ce que j'ai dit si tu juges que cela n'est pas nécessaire, c'est juste mon avis, des conseils, à prendre ou à laisser

Merci encore une fois pour ton avis, cela nous aide beaucoup !

Comme une de mes admin est également passée derrière moi pour corriger un peu les phrases trop longues et dures à comprendre (les fautes aussi héhé), j'ai juste modifié légèrement ce qu'il manquait.

Autrefois, Septies était une planète prospère. Les domaines de la science et de la médecine étaient extrêmement développés et peu de citoyens mouraient de faim. Les Spations vivaient presque une ère de paix. Combien de temps cette situation dura-t-elle ? Vraisemblablement pas assez longtemps, compte tenu du degré actuel de chaos.

Comment une planète avec une telle évolution a-t-elle pu se retrouver sous le joug de la Discorde ? Il n'a suffi que d'un dirigeant, un seul, pour que tout se transforme si vite que personne n'ait le temps de réagir, ou en tout cas trop faiblement. N'ont-ils pas réalisé ce qui leur arrivait ? Avec précaution, Klargion a mijoté une politique qui a vite divisé la population après son élection.

Il avait du charisme, de l'éloquence et de la prestance. Tout le monde l'aimait -ses conseillers politiques comme son peuple. Mais pour le bien de leur planète, il divisa peu à peu les classes sociales selon divers niveaux de richesses. Dans quel but ? Optimiser la vie de la cité. Les plus pauvres virent leur lieu de vie rasé et remplacé par des bâtiments de grande envergure. Ils furent déplacés à la périphérie de la ville. Cela semblait être une bonne idée pour tout le monde. Ils avaient désormais des maisons propres, modernes et neuves. Cependant, le prix de ce nouveau logement incluait de prendre un travail choisi par l'Etat. Certains trouvèrent un emploi convenable et bien payé tandis que d'autres se virent assignés aux usines et à la déchetterie de la ville principale. Mais ce n'était pas si grave, parce que ceux qui avaient été au chômage pouvaient enfin gagner de l'argent et subvenir à leurs besoins. Était-ce une si mauvaise chose ? Non. Néanmoins, cela commença à titiller les esprits les plus avertis.

Isoler les plus pauvres n'était que le commencement. Une usine fut installée à côté des quartiers résidentiels les plus défavorisés de la Capitale. Elle polluait l'atmosphère et les résidus étaient jetés dans une déchetterie, à peine plus loin. Puis, des gardes se virent assignés aux entrées des quartiers riches afin d'empêcher les classes dites inférieures de pénétrer dans le secteur. L'excuse était qu'ils auraient voulu "dégrader" ceux-ci.

De plus en plus de tâches ingrates furent assignées à la « basse classe ». On leur disait qu'obéir, c'était prouver leur redevance à leur bienfaiteur Klargion. Si l'un de ces habitants dit de « basse classe » venait à refuser une de ces obligations, il voyait son salaire habituel réduit. Puis, les sanctions se firent de plus en plus lourdes, allant jusqu'à un emprisonnement durant lequel ils étaient « rééduqués ».

Ensuite, une loi sur le nombre de naissances vit le jour. Elle concernait les moins riches et visait donc à diminuer le taux de pauvreté. Elle avait également pour but de remédier aux problèmes des maisons parfois trop grandes. Celles-ci furent réaménagées pour n'accueillir qu'un couple et un enfant.
Ainsi, les enfants majeurs étaient redirigés vers d'autres habitations, et bénéficièrent d'un travail assigné par l’État. Les enfants les plus âgés des familles nombreuses furent envoyés dans une pension, où ils étaient formés et éduqués non seulement pour respecter le quota obligatoire, mais également pour améliorer leurs compétences : ils devaient être plus utiles à la société. Beaucoup de ces jeunes gens purent gravir les échelons, parfois jusqu'à appartenir aux classes moyennes.

Finalement, le mariage interclasses fut interdit. Tous les citoyens devaient porter un badge numérique pour que leur position soit contrôlée de manière constante dans la Capitale -afin de stopper les exactions ayant déjà eu lieu dans les quartiers riches. Des groupes anarchistes et révolutionnaires se créèrent et grossirent, petit à petit. Lorsque les puces électroniques devinrent obligatoires, même de riches spations furent contrôlés. Mais cela ne les empêchaient pas d'agir dans leur coin, préparant une révolution. 

Pourquoi les riches se sont-ils impliqués dans cette bataille ? La raison est très simple. Les spations de lettres et déjà engagés politiquement voyaient une politique de censure s'immiscer dans leurs actions. Les écrivains un peu trop surveillés et récusés commencèrent à bouillir, tout comme certaines maisons d'édition, parfois. En outre, la famille politique opposée à Klargion disparaissait peu à peu. C'était trop étrange pour être innocent.

Les manifestations et les actes révolutionnaires se firent de plus en plus violents. La Capitale commença à couler et afin de ne pas alarmer les autres habitants de la planète, Klargion censura la presse. Mais ce fut une erreur tragique qui détermina bien vite l'histoire de Septies. Les partis révolutionnaires s'étendirent sur toute la planète en peu de temps. Klargion tomba et plus personne ne vint au pouvoir. La Capitale était dévastée. Il ne restait que des débris, des cendres et des cadavres. Les bâtiments les moins abîmés servaient désormais de refuge aux habitants en alerte.

Aujourd'hui, c'est la loi du plus fort et le culte du Chaos qui règne sur Septies. On ne sait depuis combien de temps cela dure. Il est impossible d'estimer le nombre d'années écoulées depuis la chute de Klargion. Une seule chose est sûre, si la situation venait à évoluer, personne n'oublierait ces temps troublants qui agitèrent Septies.

Maintenant pour ta question, oui c'est possible. Il faudrait y réfléchir avec mon staff mais les personnes ayant connu cette situation seraient donc sûrement assez jeunes à l'époque (comme les plasticiens ont choisi des individus d'un âge plutôt jeune).

A voir

Coucou Ches

Désolé j'ai mis un peu de temps pour te répondre mais me voici maintenant =)

Alors pour les fautes, j'hésitais à t'en parler mais je voulais vraiment faire un focus sur la compréhension comme tu l'avais demandé au départ, c'est pour ça que je ne me suis pas attardée dessus. Mais c'est chouette que ton autre admin soit passée par là ^^

Voici mon nouveau lot de petites remarques ^^

Les Spations vivaient presque une ère de paix

A lire le début, on pourrait vraiment penser qu'ils vivent en paix. Alors le mot "presque" je ne sais pas si c'est vraiment utile en fait (enfin je pense que tu parlais peut être de petits soucis de quotidien) mais si tu parles de la globalité de la planète on peut dire que oui, le monde est en paix.

Il n'a suffi que d'un dirigeant, un seul, pour que tout se transforme si vite que personne n'ait le temps de réagir, ou en tout cas trop faiblement

La répétition du "que" alourdit la phrase, essaie de trouver un autre mot ou une autre façon de tourner cette portion afin de la rendre moins redondante.

L'excuse était qu'ils auraient voulu "dégrader" ceux-ci.

En fait là je verrais plus la forme "...ils voulaient "dégrader" ceux-ci". La conjugaison utilisée ici me semble un peu bizarrement tournée. Bon ça se dit hein mais c'est peut être le "était" avec le "auraient voulu" qui donne un peu de lourdeur, rythmiquement parlant (ça se dit ? x_x)

Aujourd'hui, c'est la loi du plus fort et le culte du Chaos qui règne sur Septies. On ne sait depuis combien de temps cela dure. Il est impossible d'estimer le nombre d'années écoulées depuis la chute de Klargion. Une seule chose est sûre, si la situation venait à évoluer, personne n'oublierait ces temps troublants qui agitèrent Septies.

J'ai barré ta phrase sur le temps, car la suivante parle aussi d'une durée temporelle et peut bien remplacer le rôle de la phrase d'avant :) Puisqu'on parle d'estimation du nombre d'années.

Ensuite temps troublants ou temps troublés ? Qu'est ce qui te paraît le mieux ? J'ai un doute ><

Maintenant pour ta question, oui c'est possible. Il faudrait y réfléchir avec mon staff mais les personnes ayant connu cette situation seraient donc sûrement assez jeunes à l'époque (comme les plasticiens ont choisi des individus d'un âge plutôt jeune).

En fait je te posais cette question pour voir si ça valait le coup de développer la partie des séparations des membres d'une famille pauvre. (Pour que le joueur puisse savoir clairement comment ça fonctionnait en gros pour mieux s'immerger). Mais comme tu vas prendre des persos plutôt jeunes, on peut juste se douter qu'ils en ont entendu parler de leurs parents mais sans y avoir participé réellement. Donc tu as répondu à ma question, pas besoin de développer cette partie ^^

Sinon, très bien pour ta nouvelle version ^^ On comprends de quoi il s'agit, comment ça s'est produit, il y a du rythme dans les phrases et chaque partie est utile car elle amène à comprendre le pourquoi du comment de la situation actuelle.

Voilà :)

Merci encore pour ton SUPER AVIS DE LA MORT QUI TUE 

J'ai mis "troublés" parce que ça passe mieux à la lecture orale je trouve. Après pour l'aspect "joli" je trouve que "troublants" sonne bien avec le mot "temps" qu'il suit. Ca dépend des goûts je suppose 

Du coup je pense que c'est bon, je n'ai pas besoin de plus d'avis sur cette annexe. Encore merci Elenthil pour ton aide monumentale ! 

A archiver ~ ♥

Avec plaisir Ches =)

Ton petit mot de remerciement illumine ma nuit Nan c'est vrai je suis vraiment contente quand je peux aider et que ça sert

Et sinon pour "troublés" je trouve que ça sonne mieux aussi, c'est juste qu'à la première correction je n'avais pas le mot définitif en tête (et je l'ai trouvé au round suivant xD)

Oui en effet !

B'ah j'estime que le travail de quelqu'un doit être remercié correctement quand il est si bien fait :3