Bon, ça fait un moment que je rumine ce brin de monde, qu'il évolue tout doucement. J'aimerais y faire vivre plusieurs petites histoires et pourquoi pas écrire une large fresque épique un de ces jours ? Mais je m'en sens pas vraiment capable pour l'instant ^^ Alors le monde mûrit et je me rend compte qu'il est cohérent parce qu'il résume un peu tout ce que j'ai put imaginer jusqu'aujourd'hui.
Je viens en fait de rajouter certain point et je me pose des doutes sur la cohérence, j'ai peur de pas avoir assez de recul pour m'en rendre compte.
Excusez l'orthographe, j'ai pas tout relu, ni tout passer à bonpatron, mais, si des gens veulent s'amuser à me les souligner toutes pour que je progresse, je dirait pas non ! lool
La partie suivante est selon moi moins bonne. Pas assez réfléchit, peut être trop restrictive.
Tout commentaires seront les bienvenues.
J'ai l'intention également de laissé ce monde "ouvert" aux auteurs, si ils veulent inscrire leurs histoires dedans et si des gens sont motivé pour le monter en forum, je ne suis pas contre non plus. Je risque juste d'être très protectrice avec mon bébé
Je viens en fait de rajouter certain point et je me pose des doutes sur la cohérence, j'ai peur de pas avoir assez de recul pour m'en rendre compte.
Excusez l'orthographe, j'ai pas tout relu, ni tout passer à bonpatron, mais, si des gens veulent s'amuser à me les souligner toutes pour que je progresse, je dirait pas non ! lool
- La Légende de la Création:
Les temps n'ont pas eu de commencement. Ils ont toujours été là, comme les dieux. Ces êtres, que le commun des mortels ne peut décrire, se faisaient la guerre à la moindre occasion, pour des raisons qui, une fois de plus, dépassent n'importe quels êtres éphémères. Un jour, un monde naquit de l'une des plus violentes de leurs batailles. Ces terres éveillèrent soudain la curiosité de quelques déités lasses. Parmi l'infinité de mondes qui avaient vu le jour dans leurs affrontements, il fallut fatalement que l'un d'entre eux réunisse suffisamment de détails primordiaux pour accueillir des créatures dotées du don d'émerveiller les dieux dans toute leur complexité.
Aya, une déesse parmi tant d'autre, eut l'idée de se muer en cœur pour légèrement teinter la vie dans ce monde et faire naître les humains. La déesse, portée au titre de "mère", donna ainsi son nom à ce centre d'attention où les aléas de la "vie finie" les tiendraient en haleine.
Les premiers hommes eurent le don de pouvoir communiquer avec leurs créateurs et comprendre le langage des dieux. Ce n’était rien de comparable à la parole et à l’écoute que deux êtres savants échangent, c’était quelque chose de plus mystique et éthéré. Ils étaient si bien connectés avec leurs créateurs que les guerres qu’ils se livraient entre eux étaient de la même violence. Proche de l’extinction, les dieux furent unanimes pour se couper d’eux et interagir plus subtilement, instaurant des règles pour qu’ils puissent prendre autant de plaisir que possible à jouer ce jeu.
Une poignée d’humains, cependant, gardèrent étrangement la capacité de communiquer avec les forces supérieures et ce n’était pas là la volonté d’un dieu. L’excitation monta rapidement dès ce jour. Ce peuple se fit appelé les Aaris, reprenant le nom du premier chef de la tribu qui instaura les dogmes que devrait suivre sa descendance.
Les Aaris devaient rester en nombre très réduit et se couper du reste du monde. Cacher leur visage et ne jamais s’approcher des autres peuples, si ce n’était pour assumer leur fonction majeure : créer des villes. Ils ne bâtissaient pas de maison à proprement parler, mais érigeaient la statue d’un dieu qui en avait fait la demande. D’après les règles du jeu divin, un dieu pouvait prendre place sur le plateau d’Aya devenant le cœur d’une ville. Les peuples humains comprendraient ainsi où trouver la protection des dieux pour s'installer à proximité. Plus un dieu avait d’habitants dans sa ville, plus il était reconnu de ses paires.
Il était admis dans les hautes sphères que l'extinction de la vie dans le monde d’Aya était une mauvaise chose. Les dieux ne sont pas des enfants, ils n’aiment pas casser leurs jouets. Cependant, certaines divinités ne voulaient pas protéger les humains, préférant les bousculer et les tester. Ces dieux, qualifiés de “Malins” puis de “Démoniaques” par les humains, répandirent bien des maux dans leur monde. Ils créèrent les maladies et les cataclysmes, mais surtout, ils mirent au monde des monstres carnivores qui adoraient plus que tout la chaire humaine, parfois de la taille d’une fourmi, souvent de la taille d’un homme et plus rarement de la taille d’une montagne.
Le jeu des dieux dit “Bons” était alors de protéger les humains par des moyens détournés. Ils n’avaient pas le droit d’intervenir directement, ils n'avaient seulement que quelques cartes possibles à jouer : l’apparition, l’intervention et l’inspiration. Ils pouvaient prendre forme humaine pour apparaître devant leurs protégés, mais seulement face à quelques élus. Ils avaient également le droit d’intervenir en lançant quelques coups du sort, mais en nombres limités. Là où ils n’avaient aucune limite, c’était l’inspiration. Donner le courage aux villageois était quelque chose de précieux, ils arrivaient également à insuffler l’art aux artisans et l’intelligence aux dirigeants. Chaque ville grandissait alors dans les goûts de leur dieu, inventant styles et cultures qui leur étaient propres. C’est grâce à ces inspirations que les hommes parvinrent à manipuler la magie qui les entourait d’une manière qui sied à leur dieu.
Ainsi, la vie allait dans le monde d’Aya. La menace des monstres géants limitait le développement des villes mais faisait grandir la science guerrière des humains. Les grandes cités se comptaient sur les doigts d’une main et les petites bourgades pullulaient. Les routes étaient rares et les puissants escorteurs se payaient cher. Les rivalités existaient aussi chez les hommes pour exhiber les têtes des monstres qu’ils avaient vaincus. Et tout cela amusait les dieux.
- Le Mensonge des Dieux:
En réalité, ces statues qui trônent au milieu des villages n'a rien de divin. Il n'y a pas de dieu connu dans ce monde, juste des imposteurs.
Ces fausses divinités sont juste parvenues à transcender leur état d'humains, inventant le concept de divin. Plus intelligents et évolués que les Aaris, ils les ont manipulé pour mettre en place le jeu des dieux. Ils manipulent alors toutes les autres races humaines pour leur faire croire en l'existence de forces supérieurs et les plonger dans l'ignorance de leurs réels capacités.
La vérité, c'est qu'en chaque être vivant réside une puissance illimitée qui permet à celui qui en ai conscient de pouvoir faire tout et n'importe quoi. Le point critique est d'en être conscient et de transcender cette conscience pour avoir accès à l'intégralité de ce don divin. Le coeur de la libération de telles capacités résident dans la croyance donc. Les dieux n'influencent pas les humains par bonne volonté, mais leurs fait simplement croire en ces capacités. En leurs expliquant que les dieux qu'ils sont, sont à l'origine de ces dons, les croyants ne s'imagine pas un seul instant être capable d'une puissance comparable à leur protecteur, il pense juste être digne de vaguement les imiter.
La Vrai Histoire des Dieux
Léthé est le dieu des dieux. Respecté par les siens, il est froid, distant et personne ne peut deviner ce qu'il pense ni ce qui le motive. Il n'est pas mauvais, ne cherche semblablement pas à être à la tête du panthéon et n'influence jamais le jeu divin. Il laisse une impression de bienveillance autour de lui. Il est représenté par une boule de quartz ou un enfant d'une douzaine d'année à la peau pâle, aux yeux couleur acier et aux cheveux argentés. Ses attributs sont la mémoire et surtout l'oublie. Il est si habile qu'il parvient à effacer certain souvenirs des dieux. D'autres, comme Aya, sont assez puissants pour s'en prémunir, mais ils doutent quand même de leur immunité et ne vont jamais à l'encontre de l'oublie. Ils se font appeler les primordiaux.
Léthé n'a cependant pas effacé le souvenir de la civilisation divines et la raconte volontiers aux dieux qui veulent l'entendre :
Les humains étaient autrefois des nomades voyageant à travers des terres qui ne portaient aucun nom. Une errance sans but, sinon celui d'apprendre et comprendre cet environnement inconnu. Ils ne voulaient pas savoir d'où ils venaient ni pourquoi ils étaient, leur logique était avant tout de maîtriser leur monde et leur corps avant de se poser d'autres questions.
Il leur fallut un siècle pour apprendre à apprendre (ère Manabi), un siècle pour apprendre à voyager (ère Tabi), deux siècles pour maîtriser pleinement leur corps et leur esprit (ère Seigyo), trois siècles pour façonner le plateau d'Aya (ère Keijo) et enfin cinq siècles pour concevoir les règles d'Aya et mettre en place le jeu divin (ère Sekkei).
Dès l’ère Manabi, il y eut une scission entre eux, aucune tension, mais une caste se montra tout de suite plus en avance que l’autre, ils se firent appeler les Deas. Devenant des meneurs, ils étaient attachés à aider leurs frères moins doués qu'ils appelèrent les Aars.
Durant l’ère Tabi, Les Aars se montrèrent plus à même de voyager sur de longue distance mais jamais ils ne laissèrent les Déas derrière eux, comme pour les remercier de l’aide qu’ils avaient reçu le siècle d’avant. Ils comprirent que la cohésion d’un groupe était primordiale pour avancer et ne pas disparaître. Ils traversaient des étendus désertiques, habitées par rien d’autre que des roches, de l’eau, du feu ou du sable, on ne pouvait sentir que la poussière, le souffre et le sel. Les vents eux même ne soufflaient pas encore à cette époque.
L’ère Seigyo fut très dur pour l’humanité. Au début de cette période, on comptait plus de cent milles êtres vivant, mais les goûts et les avis commencèrent à diverger. Des groupes se formaient par affinité et allait dans les contrées qui leur semblaient les plus agréables. Les Déas se distinguèrent une fois de plus par leurs facilité à comprendre ce qui les composait et ce dont ils étaient capables. Ils apprirent rapidement à allonger leurs espérances de vie et à imaginer d’autre formes de vie. Ils peuplèrent le monde d’animaux domestiques et de plantes diverses pour ravir leurs sens. Les Aars, eux, n’aimaient pas rester en place préféraient voyager d’une colonie de dieux à l’autre. Collectant les nouveaux savoirs acquis et les redistribuant. Mais une animosité naquis entre ces deux peuples et parfois même entre différents camps de déas.
La transition entre l’ère Seigyo et Keijo fut très éprouvante. Une guerre éclata : le combat des omnipotents. Les déas avaient découvert toute la puissance dont ils étaient capable et le paradoxe que cela engendrait. Ils mourraient alors qu’ils étaient immortels, ils perdaient alors qu’ils étaient invincible et ils s’épuisaient alors qu’ils étaient infatigable. Léthé, Aya et d’autre primordiaux naquirent de mères mortes sur des champs de batailles. Ils maudirent toutes les causes de ces bains de sang et demanda à la poignée de déas encore vivantes de trouver une manière plus noble de se défier. Ils mirent les Aars de côté, les réduisant à du bétail car, les pauvres, n’avaient jamais eut la force de peser une once face à la puissance illimité de leurs frères devenu fou.
Pendant les trois siècles de l’ère Keijo, les tensions étaient palpable alors qu’ils essayaient de reconstruire tout ce qu’ils avaient détruits. Certain érigeait des montagnes, et d’autre creusait un puit de lave au centre des ces montagnes pour les rendre inhabitable, par pur haine. On créait des océans, mais on les creusait d’avantage vers les abysses. Les uns voulaient des forêts, les autres les faisaient plus dense et plus invivable. Pour des grandes étendus d’air, le sable aride inondait le sol. Les primordiaux, les déas les plus puissants de l’époque, faisaient office d’arbitre, mais étaient dépassés par les événements. La joute froide prit fin lorsque Aya fut emportée dans une colère noire en constatant qu’on en était arrivé à un mosaïque incohérente. Elle congédia ses semblables dans au dessus des nuages alors qu’elle entreprit la lourde tâche d’unifier le relief, interdisant à quiconque d’y toucher d’avantage sans son accords. La colère l’avait poussé à une autre forme de puissance et les primordiaux la soutenait, aussi personne ne voulut s'opposer à elle. Haut dans le ciel, Léthé commençait à écrire son plan. S’inspirant de la puissance d’Aya, il se projeta lui même à un autre niveau en s’exilant et en méditant. Il en revint plus puissant que n’importe qui et effaça les haines de ses congénères. Manipulant souvenir et sentiments avec subtilité.
Ce n’est qu’au début de l’ère Sekkei que Léthé avoua son pouvoir et ses agissements aux autres primordiaux. Aya venait de finir son oeuvre et elle se retira pour se calmer et se reposer de son labeur. Les tensions n’avaient pas disparut, mais plus aucun combat n’avait lieu. Le climat était idéal pour proposer l’idée d’un jeu entre les déas. Ainsi, il pourrait se mesurer les uns aux autres sans mettre à mal tout ce qui existait déjà. Léthé fut reconnu comme le dieu des déas à ce moment et les primordiaux furent enfin considérés comme tel. L’établissement des règles du jeux put se dérouler correctement, sans trop de difficulté malgré le temps nécessaire à la création de règles équilibrées, cohérentes et agréables pour tout le monde. Les Aars devinrent de simple marionnette au cerveau lavé par certain déas, ils furent rebaptisé les Aaris, et, à la fin de l’ère Sekkei, les humains furent recréés pour ajouter l’élément aléatoire du jeu divin : les femmes et les hommes tels que nous les connaissons aujourd’hui. A travers quelques apparitions des primordiaux, la mascarades fut mit en place, le mensonge répandu et Léthé refusa qu’on parle de lui dans les légendes des Dieux, car c'est le titre qu'ils prirent dans les textes qui guiderait les humains. Le dieu des dieux resterait ainsi en retrait, laissant le crédit de ses actes à Aya dont il est sans doute amoureux.
Le premier jet de dés fut lancer et l’ère Asobu, récit des parties de ces jeux, put commencer.
La partie suivante est selon moi moins bonne. Pas assez réfléchit, peut être trop restrictive.
- Règles du Jeu Divin:
Le Jeu divin est une idée qui est venue à Aya, mère de ce monde, qui décida d’aider le développement de la vie dans un monde né de l’une des batailles divines. Les dieux sont pourtant trop joueurs pour se contenter de regarder la vie se dérouler paisiblement et décidèrent d’intervenir. Ils se divisèrent en trois groupes, comme bien souvent dans leurs guerres : ceux qui veulent aider les humains, ceux qui désirent les mettre à mal et les autres qui préfèrent rester neutre. Le but du jeu était donc de parier sur la survie ou non des humains, mais d’un commun accord, même parmi les dieux dit mauvais, l’extinction de toute la race humaine serait ennuyeuse et signifierait la reprise des guerres éternelles.
L’intérêt d’attaquer un autre dieu est simple : augmenter rapidement sa puissance et étendre son territoire.
Chaque dieux peut à n'importe quel moment demander une statue là où il le souhaite sur le plateau d'Aya. Les Aaris se chargeront alors de l'ériger. Selon l'orientation du dieu, son domaine attirera des humains pour qu'ils battissent une ville en son honneur ou répandra des monstres qui s'organiseront dans une tanière.
La statue est tout pour un dieu dans le jeu divin. S'il la perd, il sera vaincu. Il devra alors errer sur le plateau d'Aya sous les traits qui le représentaient aux yeux des humains et verra ses pouvoirs scellés jusqu'à la fin du jeu.
Les trois possibilités d’un dieux bon, protecteur d’humain :
Influence : Chaque habitant de sa ville sera naturellement influencé par l’orientation du dieu. Il pourra influencer le caractère, les coutumes, le physique et l’éther de ses habitants et pourra désigner quelques élus qui représenteront l’archétype de son influence.
Apparition : Chaque dieu pourra apparaître aux humains sous la forme de son choix dans un temps limité qui se renouvelle à chaque décennie. Le temps qui il lui ait impartie est plus ou moins long en fonction du nombre de témoins, du statut du témoin (son temps s'écoulera plus vite s'il est en face d'une personne lambda que s'il se présente à l'un de ses protégés et encore plus vite que s'il apparaît devant l'un de ses élus.
Intervention : Etant donné un certain montant d’éther, le dieu pourra réaliser des miracles sur le plateau d’Aya comme une pluie curative, une offrande d’armes, la purification de poison …
Les trois Possibilités d’un dieux mauvais, agresseur d’humains:
Création : A travers sa statue, chaque dieu pourra créer et répandre des monstres qu’il aura imaginer sur le plateau d’Aya. Il aura droit d’invoquer un et un seul kaiju qu’il ne pourra lancer loin de sa statue que lors d’un raid d’où il devra revenir victorieux ou mourir dans la défaite.
Possession: Le dieux mauvais pourra à tout moment tenter sa chance pour pervertir un être humain où tout autre créature qui ne soit pas un monstre. Il pourra alors manipuler ses faits et gestes pour entre dans une ville est semer le trouble parmis les humains.
Si l’humain est fière de ces actes après la fin de la possession, il deviendra un brigand pervertit et donc un monstre.
Catastrophe : Etant donné un certain montant d’ether, le dieux pourra réaliser des cataclysmes sur le plateau d’Aya comme un tsunamie, un tremblement de terre …
Tout autre dieu, considéré comme neutre, pourra prendre la forme qu’il veut sur le plateau d’Aya pour se divertir comme bon lui semble et jouer les tours qu’il veut.
Les Raids sont les seuls moyens efficace de détruire la statue d’un autre dieu. Cela consiste à attaquer une tanière de monstre ou une ville avec beaucoup de soldat à la fois. Certe, cela crée des carance dans l’effectif des défences, mais l’enjeux en vaut la chandelle.
Chez les dieux démoniaques, il leur suffit d’un simple ordre pour lancer ses monstres sur une ville, mais ils ne se font jamais aider par d’autre dieux démoniaques car ils se marcherait trop rapidement sur les pieds. Le Kaiju, lui, mettra plus de temps à venir sur la ville et son déplacement est vue de loin, laissant le temps aux humains d’organiser leurs défence. Le Kaiju ne peut être lancé qu’une seule fois et c’est seulement pour s’assurer de la victoire, car il n’a pas le droit de battre en retraite, il devra mourir dans l’attaque ou gagner le raid. Le Dieu qui lance l’attaque peut prendre part à la bataille sous la forme d’un avatar qui aura les même traits que sa statue mais avec sa puissance limité à moins que le dieu de la ville ne se présente lui aussi dans la bataille, auquel cas, le spectacle incroyable d’un duel de dieux pourra être vue. Cependant, intervenir aussi directement n’est pas sans risque. Se faire battre sous cette forme signifie l’enferment dans ce corps à la puissance limité et la soumission total à l’un des protagoniste humain de la bataille.
Chez les dieux bons, l’organisation est confié aux humains. Certain chasseur se muent parfois en éclaireur pour voir si une tanière est attaquable ou non. Si elle l’est, des demandes d’aide sont lancées dans les villes allentours pour attirer un maximum de grand guerrier. Ils choisissent alors un ou plusieurs dieux, au plus proche de la tanière, pour prier et recevoir quelques bénédictions pour les aider et enfin se lancer à l’attaque de la tanière.
- Classes et Metiers:
- Les Brigands & Hors-la-loi
Les brigands, perverti par les dieux malveillants, disposent d’une protection contre les monstres, ils sont donc considérés comme des monstres humanoïde. Ils sillonnent les routes pour attaquer tous les humains qui s’y aventurent. Ils ne peuvent cependant pas rentrer dans les villes.
Les Hors-la-loi, sains, aiment aussi voler et attaquer les humains sur les routes, mais ils doivent le faire en prenant en compte les monstres qui les entourent. Ces brigands ne sont pas des monstres, mais sont toujours plus dangereux que les monstres de leur zone. ils doivent en effet survivre sur ces terrains hostiles. Ils peuvent, eux, entrer dans les villes, mais sont souvent fiché comme hors-la-loi et sont rarement les bienvenus.
La Guilde des Mercenaires
Le métier de mercenaire est très difficile mais rapporte beaucoup d’argent. Ils sont classés en fonction des routes qu’ils osent prendre suivit d’un niveau determiner par la guilde des mercenaires. Ce niveau représente leur taux de succès sur les différentes routes et va jusqu’à 10. engager un niveau 10 est une garantie de réussir le voyage avec un minimum de perte. Les mercenaires A10 sont donc les plus puissants.
La Guilde des Marchants Itinérants:
Le métier de marchand est une chose commune, les marchands itinérants, dans le monde d’Aya, sont bien plus rare. Leur travail consiste à aller de ville en ville pour échanger des produits finis contre de la matière première aux aventuriers et de la matière première contre des produits finis aux artisant. Cette guilde est très respectée car elle est l’un des facteurs moteurs de l’avancée en matière d’équipement et donc de lutte contre les monstres.
Cependant, c’est un métier difficile puisqu’il faut sans cesse parcourir les routes. Ils peuvent se le permettre grâce à des remises offertes par la guilde de mercenaires ou de la protection de talisman rare, certains se défendent seuls, mais c’est plus rare car ces derniers périssent vite.
La Guilde des Chasseurs:
Les chasseurs sont des gens particuliers. Leur métier est avant tout de chasser les monstres et les kaijus pour les plus puissants ou les plus fous d’entre eux. Ils répondent le plus souvent à des annonces qui demandent de réduire le nombre de créatures dans une certaine région où elles seraient devenues une trop grande menace. D’autres annonces concernent les brigands pour qu’ils soient ramenés vivants ou morts.
Cependant, les chasseurs n’ont pas de règles établies, l’on parle de guilde, mais aucune instance ne cadre leurs actes. Ils sont souvent motivés par l’appât du gain ou par la soif de vengeance, d’autres plus rares cherchent la gloire du plus beau trophée et veulent surtout satisfaire leur ego.
Tout commentaires seront les bienvenues.
J'ai l'intention également de laissé ce monde "ouvert" aux auteurs, si ils veulent inscrire leurs histoires dedans et si des gens sont motivé pour le monter en forum, je ne suis pas contre non plus. Je risque juste d'être très protectrice avec mon bébé
Dernière édition par Léa Mundis le Dim 17 Mai 2015 - 12:27, édité 7 fois