Voilà, l'idée m'est venue un peu comme ça, de nulle part, et comme je n'ai pas le temps ni le courage de créer mon propre forum, je soumets l'idée au Libre-Service, en espérant qu'elle plaira peut-être à quelqu'un.
Bien entendu, un petit merci sera bienvenu, et je vous donnerais des précisions avec plaisir.
L’HISTOIRE :
L’Atlantide. Ce nom sonne familièrement à vos oreilles, comme une réminiscence d’un temps que vous n’avez jamais vécu. Sa consonance vous semble mélodieuse, sortie d’une langue ancienne qui reste nichée dans votre mémoire. Soudain, le souvenir vous revient, un peu décevant, comme si vous en attendiez plus. L’Atlantide, c’est ce mythe étrange d’un continent disparu sous les eaux à cause d’un raz-de-marée, engloutissant avec lui l’entièreté de son peuple.
Mais ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que ce continent a réellement existé, et que certains de ses ressortissants, plus sages que d’autres, ont réussi à échapper à la catastrophe... Et vous en êtes les descendants.
Mais reprenons depuis le début :
L’Atlantide, donc, est un ancien continent, situé au beau milieu de l’océan Atlantique. Ses habitants, les Atlantes, étaient un peuple qui surpassait de loin les autres, de par sa connaissance technologique avancée, mais aussi par leur puissance maritime et commerciale. Ils vivaient en paix avec leurs voisins, et malgré les petits conflits avec certaines villes comme Athènes par exemple, leur diplomatie était proverbiale. Ils étaient régis par leur Roi, Atlas, qui régnait avec sagesse et vertu, grâce aux assemblées du peuple, qui lui prodiguaient conseils et demandes en tous temps.
Néanmoins ce peuple, comme tous les autres, avaient un grand défaut, celui-là même que les Grecs appelaient υβρισ, c’est-à-dire l’hybris. En effet, les Atlantes étaient avides de savoir, et ils tentaient de plus en plus à dépasser leurs barrières technologiques et scientifiques. Ce vice était grandement encouragé par Phylippos, le premier scientifique de la cour, qui souhaitait voir naître une nouvelle forme de vie, plus puissante, plus apte à régner sur le monde.
De ses expériences naquit la race des Ondins, qui, moitié hommes moitié poissons, pouvaient se déplacer à la fois sur terre et sur mer. Très forts et très agiles, leurs incroyables capacités physiques combinées à leur extrême loyauté convainquirent Phylippos qu’il avait créé la race parfaite ; il les envoya très rapidement se former au combat et les posta aux alentours d’Atlantide, afin de protéger le continent d’éventuelles attaques d’ennemis jaloux, ou horrifiés par la création du scientifique.
Mais pourtant, cette félicité ne dura pas : Atlas, enivré par le pouvoir créateur de Phylippos, et aveuglé par l’hybris, lui demanda de faire des Atlantes une espèce aussi puissante que les ondins. Le scientifique s’exécuta, et mit au point un sérum que devait s’injecter chaque femme enceinte dans les cinq premiers mois de sa grossesse.
Les Atalantes
Les nouveaux-nés furent une nouvelle fois considérés comme un succès fascinant, et Phylippos fut adulé par tous les citoyens d’Atlantide. En effet, Phylippos avait réussi, en modifiant l’ADN des embryons, à développer leurs pouvoirs physiques, psychiques ou en rapport avec la nature : on vit fleurir dans les foyers des apprentis télékinésistes, des enfants hybrides (?), des bambins à la force surdéveloppée, d’autres qui pouvaient faire pousser les plantes à leur guise... Les nouveaux Atlantes furent applaudis, choyés et présentés comme les graines d’un nouveau monde, les Atalantes.
Ce fut une nouvelle et dernière fois que l’hybris s’empara d’Atlas. Jamais son règne n’avait été aussi prospère, jamais on ne l’avait autant admiré et loué pour son audace et sa sagesse. Cependant, il convoqua le premier Atalante né, qui était le plus puissant, et lui dit : « Toi qu’on appelle Premier, je vais te confier une dure mission. Si tu réussis, je ferais de toi mon successeur, et tu seras, quand je mourrai, Atlas à ton tour. » Et ce fut ainsi qu’il demanda à Premier d’élever le continent atlante jusqu’aux cieux.
Premier, même si anxieux devant la difficulté de la tâche, promit qu’il ne faillirait pas, et s’apprêta, à la force seule de son imagination, à soulever l’Atlantide jusqu’aux cieux. Cela fut l’occasion d’une fête grandiose, comme on n’en avait jamais vu auparavant. Tout le peuple atlante se préparait à la montée de leurs terres aux cieux, mais quelques-uns, se rendant compte de la folie du projet, décidèrent de fuir vers les autres continents, en compagnie de leurs enfants et leurs familles.
Ils firent bien. Premier réussit en effet l’exploit d’élever le continent jusqu’à plus d’un kilomètre au dessus du niveau de la mer, quand soudain, un frelon vint se poser sur sa jambe et le piqua. Premier, désarçonné et déconcentré par la douleur aigüe, perdit le contrôle de l’ascension et lâcha prise. Atlantide, reprise par les lois naturelles, tomba dans la mer et fut immergée.
Le destin d’Atlantide.
Dans sa chute, Premier réussit à peine à se protéger, et la bulle d’air qu’il créa alors qu’il sombrait dans l’océan lui permit de survivre in extremis au choc. Mais ce ne fut pas le cas pour le reste de la population Atlante : toute âme humaine autrefois présente sur Atlantide avait coulé avec le continent, et il n’y avait aucun survivant. Dans les flots, Premier put apercevoir les corps sans vie d’Atlas et de Phylippos. Ce fut néanmoins une grande surprise quand il découvrit que d’Atlantide ne restaient que les Ondins, qui n’avaient pas été conviés sur le continent pour assister à la folie d’Altlas.
Il demanda à ceux-ci de garder les vestiges du continent englouti, tandis qu’il allait sur les autres continents afin de trouver une nouvelle patrie qui l’accepte pour ce qu’il était. Cependant, tout ce qu’il ne trouva ne fut que portes closes. Les Atlantes n’étaient pas bienvenus dans les pays qui avaient été autrefois surpassés par la puissance du continent immergé. De plus, ils voyaient en les Atalantes des monstres contre nature, des soi-disant pactisant des démons et du Chaos. Premier fut violemment lynché dans un village, et, décidé à rester pacifique quoi qu’il se passe, il s’enfuit et rentra à Atlantide.
Dans sa fuite, il rencontra quelques Atalantes, qui faisaient partie de ceux qui avaient fui la folie d’Atlas, et il décida, à leurs côtés, de vivre sous les mers sur leur continent. Pour ce faire, il créa un dôme d’air autour du continent, et tut leur existence au reste du monde, dans le seul but de vivre paisiblement.
Les Atalantes qu’il avait ramenés avec lui le nommèrent roi, et Premier reçut par conséquent le titre d’Atlas. Mais afin de rappeler aux générations futures de ne jamais reproduire la folie de celui qui avait causé la chute d’Atlantide, il lui préféra le titre d’Atalas, et renomma l’Atlantide en Atalantide.
Les enfants de l’Atalantide
Pendant plusieurs centaines d’années, les Atalantes vécurent en paix, sous la régence l’Atalas, qui, grâce à sa prodigieuse puissance, pouvait vivre plusieurs milliers d’années. Néanmoins, tandis que les générations se succédaient, le peuple eut vent de rumeurs qui couraient à la surface : des enfants aux étranges pouvoirs, très similaires aux Atalantes, apparaissaient à sa surface et semaient la pagaille au sein des humains ordinaires.
Atalas quitta Atalantide pendant plusieurs mois afin d’éclaircir ce mystère, et revint avec une dizaine d’enfants qui étaient en réalité une part des descendants des Altalantes ayant échappé à la chute de l’Atlantide.
Au fil des siècles ; d’autres enfants aux capacités similaires apparurent, et à chaque fois, Atalas sortit pour les amener à Atalantide, leur épargner une certaine discrimination et préserver l’existence secrète du continent mythique. Néanmoins, Atalas se faisait vieux, et il chargea les ondins de se charger de la tâche d’amener les descendants Atalantes ; il préféra se concentrer sur la sauvegarde du continent.
Et maintenant...
Nous sommes aujourd’hui au XXIe siècle, et le fonctionnement d’Altalantide n’a pas changé. Les nouveaux Atalantes, ramenés chaque année par les Ondins, sont contraints à rester en Atalantide jusqu’à leurs vingt ans dans le cercle central du continent.
A leurs vingt ans, ils ont le choix entre rester au sein des natifs, ou bien de retourner à la surface, sous réserve d’une interdiction magique de parler d’Atalantide et d’utiliser leurs pouvoirs.
Atalantide est composée de trois cercles concentriques de terre, séparés par de l'eau. et reliés par deux ponts. Le cercle intérieur, Premier Cercle comporte le pensionnat, la ville étudiante et la demeure d'Atalas. Le cercle intermédiaire, Deuxième Cercle, comporte les habitations de natifs et les cultures. Le cercle extérieur, Troisième Cercle, est plus sauvage et comporte principalement les mines, les usines et les habitations des Ondins. On trouve de tous les reliefs dans les trois cercles.
LES PERSONNAGES A INCARNER
Les natifs
Différentes classes à prendre en compte :
• La noblesse (les premiers Atalantes)
• Le personnel du pensionnat
• Les citoyens normaux
Tous les âges peuvent êtres joués. Pour incarner un enfant de moins de douze ans, contactez un administrateur.
De 12 à 17 ans, les natifs vont à la même école que les extratalantes, dans le Premier Cercle.
Ils vivent avec leur famille dans le Deuxième Cercle, n’ont pas le droit de sortir d’Atalantide, mais peuvent parfois obtenir des Pass pour le Premier ou le Troisième Cercle.
Les extratalantes : les pensionnaires.
L’âge minimum d’un pensionnaire est de douze ans, l’âge auquel commencent à se développer les pouvoirs.
Les pensionnaires sont issus du monde entier.
Les cours sont obligatoires jusqu’à dix-sept ans. A partir de dix-sept ans, ils deviennent facultatifs, et avoir un travail à mi-temps ou à plein-temps devient obligatoire.
Jusqu’à leurs vingt ans, ils sont obligés de porter la Bulla, un petit pendentif, qui les différencie des élèves natifs et ondins.
Les pensionnaires vivent uniquement dans le Premier Cercle, et ont interdiction formelle de sortir d’Atalantide. A partir de vingt ans, s’ils décident de rester, ils vont s’installer dans le Deuxième Cercle.
Les Ondins
Les Ondins sont les gardiens de l’Atalantide.
De douze à dix-sept ans, ils assistent aux cours dans le Premier Cercle en compagnie des natifs et des pensionnaires, et à leurs vingt ans ils entrent dans l’école militaire des Ondins, dans le Troisième Cercle.
Les Ondin ne peuvent se reproduire qu’entre eux. Ils sont sensiblement similaires aux humains dans leur façon de penser, mais ils partagent tous une seule qualité : ils sont extrêmement loyaux à Atalas.
Ils ont des palmes rétractiles aux main et aux pieds et des branchies qui ne se voient presque pas quand ils sont sur la terre ferme. Ils ont une force supérieure à celle des humains et sont généralement plus grands.
Ils vivent dans le Troisième Cercle. Les Ondins haut gradés peuvent accéder aux autres cercles, mais ils sont généralement réduits au Troisième Cercle.
Bien entendu, un petit merci sera bienvenu, et je vous donnerais des précisions avec plaisir.
L'Atalantide
L'Atalantide
L’HISTOIRE :
L’Atlantide. Ce nom sonne familièrement à vos oreilles, comme une réminiscence d’un temps que vous n’avez jamais vécu. Sa consonance vous semble mélodieuse, sortie d’une langue ancienne qui reste nichée dans votre mémoire. Soudain, le souvenir vous revient, un peu décevant, comme si vous en attendiez plus. L’Atlantide, c’est ce mythe étrange d’un continent disparu sous les eaux à cause d’un raz-de-marée, engloutissant avec lui l’entièreté de son peuple.
Mais ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que ce continent a réellement existé, et que certains de ses ressortissants, plus sages que d’autres, ont réussi à échapper à la catastrophe... Et vous en êtes les descendants.
Mais reprenons depuis le début :
L’Atlantide, donc, est un ancien continent, situé au beau milieu de l’océan Atlantique. Ses habitants, les Atlantes, étaient un peuple qui surpassait de loin les autres, de par sa connaissance technologique avancée, mais aussi par leur puissance maritime et commerciale. Ils vivaient en paix avec leurs voisins, et malgré les petits conflits avec certaines villes comme Athènes par exemple, leur diplomatie était proverbiale. Ils étaient régis par leur Roi, Atlas, qui régnait avec sagesse et vertu, grâce aux assemblées du peuple, qui lui prodiguaient conseils et demandes en tous temps.
Néanmoins ce peuple, comme tous les autres, avaient un grand défaut, celui-là même que les Grecs appelaient υβρισ, c’est-à-dire l’hybris. En effet, les Atlantes étaient avides de savoir, et ils tentaient de plus en plus à dépasser leurs barrières technologiques et scientifiques. Ce vice était grandement encouragé par Phylippos, le premier scientifique de la cour, qui souhaitait voir naître une nouvelle forme de vie, plus puissante, plus apte à régner sur le monde.
De ses expériences naquit la race des Ondins, qui, moitié hommes moitié poissons, pouvaient se déplacer à la fois sur terre et sur mer. Très forts et très agiles, leurs incroyables capacités physiques combinées à leur extrême loyauté convainquirent Phylippos qu’il avait créé la race parfaite ; il les envoya très rapidement se former au combat et les posta aux alentours d’Atlantide, afin de protéger le continent d’éventuelles attaques d’ennemis jaloux, ou horrifiés par la création du scientifique.
Mais pourtant, cette félicité ne dura pas : Atlas, enivré par le pouvoir créateur de Phylippos, et aveuglé par l’hybris, lui demanda de faire des Atlantes une espèce aussi puissante que les ondins. Le scientifique s’exécuta, et mit au point un sérum que devait s’injecter chaque femme enceinte dans les cinq premiers mois de sa grossesse.
Les Atalantes
Les nouveaux-nés furent une nouvelle fois considérés comme un succès fascinant, et Phylippos fut adulé par tous les citoyens d’Atlantide. En effet, Phylippos avait réussi, en modifiant l’ADN des embryons, à développer leurs pouvoirs physiques, psychiques ou en rapport avec la nature : on vit fleurir dans les foyers des apprentis télékinésistes, des enfants hybrides (?), des bambins à la force surdéveloppée, d’autres qui pouvaient faire pousser les plantes à leur guise... Les nouveaux Atlantes furent applaudis, choyés et présentés comme les graines d’un nouveau monde, les Atalantes.
Ce fut une nouvelle et dernière fois que l’hybris s’empara d’Atlas. Jamais son règne n’avait été aussi prospère, jamais on ne l’avait autant admiré et loué pour son audace et sa sagesse. Cependant, il convoqua le premier Atalante né, qui était le plus puissant, et lui dit : « Toi qu’on appelle Premier, je vais te confier une dure mission. Si tu réussis, je ferais de toi mon successeur, et tu seras, quand je mourrai, Atlas à ton tour. » Et ce fut ainsi qu’il demanda à Premier d’élever le continent atlante jusqu’aux cieux.
Premier, même si anxieux devant la difficulté de la tâche, promit qu’il ne faillirait pas, et s’apprêta, à la force seule de son imagination, à soulever l’Atlantide jusqu’aux cieux. Cela fut l’occasion d’une fête grandiose, comme on n’en avait jamais vu auparavant. Tout le peuple atlante se préparait à la montée de leurs terres aux cieux, mais quelques-uns, se rendant compte de la folie du projet, décidèrent de fuir vers les autres continents, en compagnie de leurs enfants et leurs familles.
Ils firent bien. Premier réussit en effet l’exploit d’élever le continent jusqu’à plus d’un kilomètre au dessus du niveau de la mer, quand soudain, un frelon vint se poser sur sa jambe et le piqua. Premier, désarçonné et déconcentré par la douleur aigüe, perdit le contrôle de l’ascension et lâcha prise. Atlantide, reprise par les lois naturelles, tomba dans la mer et fut immergée.
Le destin d’Atlantide.
Dans sa chute, Premier réussit à peine à se protéger, et la bulle d’air qu’il créa alors qu’il sombrait dans l’océan lui permit de survivre in extremis au choc. Mais ce ne fut pas le cas pour le reste de la population Atlante : toute âme humaine autrefois présente sur Atlantide avait coulé avec le continent, et il n’y avait aucun survivant. Dans les flots, Premier put apercevoir les corps sans vie d’Atlas et de Phylippos. Ce fut néanmoins une grande surprise quand il découvrit que d’Atlantide ne restaient que les Ondins, qui n’avaient pas été conviés sur le continent pour assister à la folie d’Altlas.
Il demanda à ceux-ci de garder les vestiges du continent englouti, tandis qu’il allait sur les autres continents afin de trouver une nouvelle patrie qui l’accepte pour ce qu’il était. Cependant, tout ce qu’il ne trouva ne fut que portes closes. Les Atlantes n’étaient pas bienvenus dans les pays qui avaient été autrefois surpassés par la puissance du continent immergé. De plus, ils voyaient en les Atalantes des monstres contre nature, des soi-disant pactisant des démons et du Chaos. Premier fut violemment lynché dans un village, et, décidé à rester pacifique quoi qu’il se passe, il s’enfuit et rentra à Atlantide.
Dans sa fuite, il rencontra quelques Atalantes, qui faisaient partie de ceux qui avaient fui la folie d’Atlas, et il décida, à leurs côtés, de vivre sous les mers sur leur continent. Pour ce faire, il créa un dôme d’air autour du continent, et tut leur existence au reste du monde, dans le seul but de vivre paisiblement.
Les Atalantes qu’il avait ramenés avec lui le nommèrent roi, et Premier reçut par conséquent le titre d’Atlas. Mais afin de rappeler aux générations futures de ne jamais reproduire la folie de celui qui avait causé la chute d’Atlantide, il lui préféra le titre d’Atalas, et renomma l’Atlantide en Atalantide.
Les enfants de l’Atalantide
Pendant plusieurs centaines d’années, les Atalantes vécurent en paix, sous la régence l’Atalas, qui, grâce à sa prodigieuse puissance, pouvait vivre plusieurs milliers d’années. Néanmoins, tandis que les générations se succédaient, le peuple eut vent de rumeurs qui couraient à la surface : des enfants aux étranges pouvoirs, très similaires aux Atalantes, apparaissaient à sa surface et semaient la pagaille au sein des humains ordinaires.
Atalas quitta Atalantide pendant plusieurs mois afin d’éclaircir ce mystère, et revint avec une dizaine d’enfants qui étaient en réalité une part des descendants des Altalantes ayant échappé à la chute de l’Atlantide.
Au fil des siècles ; d’autres enfants aux capacités similaires apparurent, et à chaque fois, Atalas sortit pour les amener à Atalantide, leur épargner une certaine discrimination et préserver l’existence secrète du continent mythique. Néanmoins, Atalas se faisait vieux, et il chargea les ondins de se charger de la tâche d’amener les descendants Atalantes ; il préféra se concentrer sur la sauvegarde du continent.
Et maintenant...
Nous sommes aujourd’hui au XXIe siècle, et le fonctionnement d’Altalantide n’a pas changé. Les nouveaux Atalantes, ramenés chaque année par les Ondins, sont contraints à rester en Atalantide jusqu’à leurs vingt ans dans le cercle central du continent.
A leurs vingt ans, ils ont le choix entre rester au sein des natifs, ou bien de retourner à la surface, sous réserve d’une interdiction magique de parler d’Atalantide et d’utiliser leurs pouvoirs.
Atalantide est composée de trois cercles concentriques de terre, séparés par de l'eau. et reliés par deux ponts. Le cercle intérieur, Premier Cercle comporte le pensionnat, la ville étudiante et la demeure d'Atalas. Le cercle intermédiaire, Deuxième Cercle, comporte les habitations de natifs et les cultures. Le cercle extérieur, Troisième Cercle, est plus sauvage et comporte principalement les mines, les usines et les habitations des Ondins. On trouve de tous les reliefs dans les trois cercles.
LES PERSONNAGES A INCARNER
Les natifs
Différentes classes à prendre en compte :
• La noblesse (les premiers Atalantes)
• Le personnel du pensionnat
• Les citoyens normaux
Tous les âges peuvent êtres joués. Pour incarner un enfant de moins de douze ans, contactez un administrateur.
De 12 à 17 ans, les natifs vont à la même école que les extratalantes, dans le Premier Cercle.
Ils vivent avec leur famille dans le Deuxième Cercle, n’ont pas le droit de sortir d’Atalantide, mais peuvent parfois obtenir des Pass pour le Premier ou le Troisième Cercle.
Les extratalantes : les pensionnaires.
L’âge minimum d’un pensionnaire est de douze ans, l’âge auquel commencent à se développer les pouvoirs.
Les pensionnaires sont issus du monde entier.
Les cours sont obligatoires jusqu’à dix-sept ans. A partir de dix-sept ans, ils deviennent facultatifs, et avoir un travail à mi-temps ou à plein-temps devient obligatoire.
Jusqu’à leurs vingt ans, ils sont obligés de porter la Bulla, un petit pendentif, qui les différencie des élèves natifs et ondins.
Les pensionnaires vivent uniquement dans le Premier Cercle, et ont interdiction formelle de sortir d’Atalantide. A partir de vingt ans, s’ils décident de rester, ils vont s’installer dans le Deuxième Cercle.
Les Ondins
Les Ondins sont les gardiens de l’Atalantide.
De douze à dix-sept ans, ils assistent aux cours dans le Premier Cercle en compagnie des natifs et des pensionnaires, et à leurs vingt ans ils entrent dans l’école militaire des Ondins, dans le Troisième Cercle.
Les Ondin ne peuvent se reproduire qu’entre eux. Ils sont sensiblement similaires aux humains dans leur façon de penser, mais ils partagent tous une seule qualité : ils sont extrêmement loyaux à Atalas.
Ils ont des palmes rétractiles aux main et aux pieds et des branchies qui ne se voient presque pas quand ils sont sur la terre ferme. Ils ont une force supérieure à celle des humains et sont généralement plus grands.
Ils vivent dans le Troisième Cercle. Les Ondins haut gradés peuvent accéder aux autres cercles, mais ils sont généralement réduits au Troisième Cercle.
By Anviree
(C) Mini BN sur Epicode.