La FanFiction d'Hanon

Dans les pensées de Patte Colorée

Je me trouvais dans le camp, tout affolé. Je ne savais pas ce qui ce passait. Tout les membres de mon Clan paraissez comme des chats errants. Un sentiment de malaise me vint tout à coup. Je me balançais. Je ne savais pas ce qui ce passait. Tout le monde m’ignorait. La vie paraissez aller plus vite que d’habitude. Je regardais a gauche puis a droite. Une crue s’approchait a vue d’œil.

- Que va-t-on devenir si cette crue s’installe parmi nous ? me lamentais-je désespoir.
Soudain, j’entendis un arbre grincer. Il allait tomber sur moi. Je m’éloignai, mais d’autres arbre se mirent à grincer et à tomber. Je les évitai de justesse, mais ma maman, Boule Fleuri se fit écraser par un arbre. Ce n’était pas la seule.
- MAMAN ! MAMAN ! OUVRE LES YEUX JE T’EN PRIE ! QUI VA S’OCCUPER DE PETIT NENUPHARE ET DE MOI-MEME ? JE VEUX QUE SE SOIS TOI ET PERSONNE D’AUTRE ! TOI SEUL NOUS A TRAITER COMME NORMAL !
Maman ouvrit les yeux.
- Maman ! m’écriais-je à ma plus grande joie
- Demandez a Perle de Lune de vous nommez apprentis… m’ordonna t elle avec faiblesse.
- Mais pourquoi ? Nous n’avons pas six lunes, mais quatre !
Puis Maman ferma les yeux et posa sa tête sur le sol avec violence. C’est a ce moment la que j’ai compris que je devais renoncer a elle. Malheureusement, ce n’était pas la seule membre à s’être fait prise au piège.

[size=24]J[/size]e me réveillai en sursaut. Je vis ma sœur, Petit Nénuphar, se réveiller elle aussi, et de la même manière que moi. On se dirigea tout les deux vers l’entrée de la pouponnière. De l’extérieur, on pouvait voir nos deux têtes dans le bas du rideau de lichen, couvrant l’entrée de la pouponnière. Nous poussâmes un soupir de soulagement : Ils ne sont pas tombés.
- Dis Patte Colorée, me demanda ma sœur, tu aurais fait le même cauchemar que moi ? Tu as rêvé que tout les arbres étaient tombés, et que Maman était prise sous un arbre ?
J’avais baissé la tête.
- Oui… Un affreux rêve… Je ne veux plus le refaire de toute ma vie…

Nous sortîmes ensemble pour aller chercher une proie dans le tas de gibier. Je léchai l’oreille de ma sœur. Son poil écaille de tortue était si soyeux qu’il luisait au Soleil. L’astre rond et jaune, qui était a son zénith brillait de mille feux, mais dégageait une grosse chaleur.
Nous dégustâmes notre proie sous un chêne, d’où tombaient quelques glands. Je m’en pris une sur la tête. Nous nous mîmes à rires avant de finir notre proie. Une fois la proie fini, Je décelai une odeur d’écureuil. Je n’étais pas un apprenti, ni un guerrier, mais je tentai quand même de l’attraper. Je m’approchais a pas de velours de ma proie, mais le vent se mis à souffler dans mon dos. L’écureuil avait sentit mon odeur. C’est pour sa que je me hâtai de lui sauter dessus. A ma grande déception, l’écureuil sauta d’un bond puissant du sol à ma tête quand j’ai voulu l’attraper.