Bonjour/Bonsoir =3 :
Tout d'abord merci de vous attarder sur ma demande.
Voici une copie du post "contexte" présent sur mon forum :
Au fins fond du japon ancien se trouvait jadis une petite contrée du nom de Luzana. On disait que ses habitants étaient protégés par l'étoile de l'amour; celle qui brillait le plus. Les cultures étaient bonnes et le commerce était de bon rendements. Le seigneur qui possédait les terres était sage et généreux mais son domaine se trouvait dans la région voisine. Il n'y avait donc pas beaucoup de soldats et il n'était pas rare que quelques bandits viennent piller et saccager les villages.
Un jour, un voyageur aux origines incertaines fit son apparition dans le village de Tsukimi, le plus grand de Luzana. Il se trouvait être un grand maître d'arts martiaux. Les villageois allèrent le supplier de leur apprendre le combat afin qu'ils puissent se défendre contre les bandits. L'homme, d'une quarantaine d'années environ, accepta. C'est ainsi que fut construit le premier dojo de Karaté de la région. Après plusieurs années, les villageois arrivèrent enfin à repousser leurs assaillants et le dojo se fit une réputation jusqu'aux régions voisines. Des disciples de tout le pays vinrent alors pour apprendre le Karaté.
L'homme eut deux fils et une fille avec une jeune femme d'une vingtaine d'années. Ils vécurent des jours heureux. Mais vînt un jour son décès. Les deux fils aînés de la famille se disputèrent la place de maître du dojo. L'ainé fut battu par son cadet dans un combat qui les départageait. Fou de rage, il partit sur une colline voisine et décida de construire sa propre école de Karaté. Les deux frères se formèrent bientôt des unités d'élites qui s'opposaient pour imposer leur suprématie. Face à tant de violence, la sœur décida de créer à son tour une nouvelle école de Karaté traditionnelle en l'honneur de son défunt père. Elle attaqua le deuxième de la famille et le repoussa du dojo de leur père pour en faire un temple.
C'est ainsi que trois écoles de Karaté furent créés autour du grand temple qu'on nomma le temple Shin'tou ; le temple de l'Osmose. Les dojos réalisent des missions pour le peuple. Les missions réalisées leur permettent d'augmenter leur renommée.
Vous incarnez un habitant de Luzana, une région du japon antique. Vous pouvez vivre votre vie simplement (possibilité d'incarner toute classe sociale) ou décider d'aller dans un des dojos et accomplir votre destin (montez en grade, personnaliser au maximum votre personnage à l'aide de caractéristiques). Chaque école à sa propre spécialité de combat.
Que vous soyez habitant ou disciple d'un dojo, tout le monde possède une barre d'expérience en rp. Pour les disciples la barre d'expérience correspond à leur niveau de maitrise en tant que combattant.
La voie du combattant :
Les combattants doivent essayer d'acquérir durant leur vie des vertus réunies en un précepte qu'on appelle la voie du combattant...
L'honneur : C’est la qualité essentielle. Nul ne peut se prétendre Budoka (Guerrier au sens noble du terme) s’il n’a pas une conduite honorable. Du sens de l’honneur découlent toutes les autres vertus. Il exige le respect du code moral et la poursuite d’un idéal, de manière à toujours avoir un comportement digne et respectable. Il conditionne notre attitude et manière d’être vis-à-vis des autres.
La fidélité : Il n’y a pas d’honneur sans fidélité et loyauté à l’égard de certains idéaux et de ceux qui les partagent. La fidélité symbolise la nécessité incontournable de tenir ses promesses et remplir ses engagements.
La sincérité : La fidélité nécessite la sincérité dans les paroles et dans les actes. Le mensonge et l’équivoque engendrent la suspicion qui est la source de toutes les désunions. En karaté – do, le salut est l’expression de cette sincérité, c’est le signe de celui qui ne déguise ni ses sentiments, ni ses pensées, de celui qui se sait authentique.
Le courage : La force d’âme qui fait braver le danger et la souffrance s’appelle le courage. Ce courage qui nous pousse à faire respecter, en toutes circonstances, ce qui nous paraît juste, et qui nous permet, malgré nos peurs et nos craintes, d’affronter toutes les épreuves. La bravoure, l’ardeur et surtout la volonté sont les supports de ce courage.
La bienveillance : La bonté et la bienveillance sont les marques de ce courage qui dénotent une haute humanité. Elles nous poussent à l’entraide, à être attentif à notre prochain et à notre environnement, à être respectueux de la vie.
L'humilité : La bonté et la bienveillance ne peuvent s’exprimer sincèrement sans modération dans l’appréciation de soi–même. Savoir être humble, exempt d’orgueil et de vanité, sans faux-semblant est le seul garant de la modestie.
La droiture : C’est suivre la ligne du devoir et ne jamais s’en écarter. Loyauté, honnêteté et sincérité sont les piliers de cette droiture. Elle nous permet de prendre sans aucune faiblesse une décision juste et raisonnable.
Le respect : La droiture engendre le respect à l’égard des autres et de la part des autres. La politesse est l’expression de ce respect dû à autrui quelles que soient ses qualités, ses faiblesses ou sa position sociale. Savoir traiter les personnes et les choses avec déférence et respecter le sacré est le premier devoir d’un Budoka car cela permet d’éviter de nombreuses querelles et conflits.
Le contrôle de soi : Cela doit être la qualité essentielle de toute ceinture noire. Il représente la possibilité de maîtriser nos sentiments, nos pulsions et de contrôler notre instinct. C’est l’un des principaux objectifs de la pratique du Karaté-Do, car il conditionne toute notre efficacité. Le code d’honneur et de la morale traditionnelle enseignée dans le Karaté-Do est fondé sur l'acquisition de cette maîtrise.
Le Karaté :
Le karaté est basé sur des techniques de percussion utilisant les différentes parties du corps comme des armes naturelles (doigts, mains ouvertes et fermées, avants-bras, pieds, tibias, coudes, genoux, tête, épaules, etc.) en vue de bloquer les attaques adverses et/ou d'attaquer.
Les techniques regroupent des parades, des esquives, des balayages, des projections et des clés.
Pour acquérir la maîtrise de ces techniques en combat, l'enseignement comporte deux domaines d'étude complémentaires : le kihon et les katas.
* Le kihon (qui signifie « technique de base ») consiste à répéter individuellement et la plupart du temps en groupe des techniques, positions et déplacements. Pratiqué avec un partenaire de façon codifiée, on parle alors de kihon-kumite.
* Le kata (qui signifie « forme ») est un enchaînement codifié et structuré de techniques, représentant un combat réel contre plusieurs assaillants virtuels quasi simultanés, ayant pour but la formation du corps, l'acquisition d'automatismes ainsi que la transmission de techniques secrètes. Le kata dépasse l'aspect purement technique en permettant au pratiquant, après de nombreuses répétitions, de tendre vers la perfection des mouvements.
Le Karaté le plus fréquent se nomme le Karaté Shotokan. Dans le contexte, c'est celui qui fut enseigné à la première école de Karaté de la région qui fut transformé en temple. Les trois dojos de la région enseignent un style différent de Karaté propre à son école à savoir :
Le Gōjū-ryū du dojo de l'eau : Caractérisé par des positions naturelles, il comprend des modes de frappes et des déplacements souvent circulaires, visant les points vitaux. Les postures sont stables et puissantes, les coups de pieds bas uniquement, la respiration ventrale sonore, les déplacements courts et en demi-cercles.
Le Wadō-ryū du dojo du vent : Dérivé du Shotokan visant à développer un style moins rigide et à éviter les coups de l'adversaire plutôt qu'à les bloquer.
Le Shito-ryu du dojo du feu : le style possédant le plus de katas. Le créateur du style, rajouta des techniques souples de mains comme des blocages circulaires et des attaques de poings à courte distance.