Bonjour ! Voilà, je bosse sur un nouveau projet (déjà bien avancé). Le contexte est très clair dans ma tête mais j'ai énormément de mal à le rédiger. J'ai constamment l'impression que le texte est plat et sans intérêt. Je ne sais pas ce que je dois développer ou non, bref je deviens fou. Un regard extérieur me ferait le plus grand bien !
Je vous laisse ma première esquisse du contexte. Si vous voyez encore des fautes, dîtes le moi, j'ai essayé de corriger mais c'est pas mon point fort...
(Le contexte avant les modifications :
Merci d'avance pour votre aide.
Je vous laisse ma première esquisse du contexte. Si vous voyez encore des fautes, dîtes le moi, j'ai essayé de corriger mais c'est pas mon point fort...
- Contexte Colonie:
- L'Humanité ne pouvait pas avoir d'Happy End. Pour beaucoup, elle ne la méritait pas, pas après ce qu'elle a fait endurer à cette pauvre planète. Au début du Second millénaire, tous les maux de notre planète se sont soudainement aggravé. Les gouvernements se retrouvèrent confronté à des problèmes sans solution. Les récoltes ne parvenaient plus à survivre sur cette terre aride. La montée des eaux avalait chaque année un peu plus de territoire. Les guerres pour les dernières gouttes de pétrole faisait des victimes à la pelle, les nouvelles maladies également.
Oui, tout le monde pensait qu'on assistait là à la fin de l'Humanité. La technologie n'était pas assez avancée pour espérer permettre à l'Homme de s'installer sur d'autres planètes. Les Etats-Unis, seul pays encore assez riche et ayant les installations nécessaires, dépensèrent jusqu'à leur dernier dollar pour faire progresser les recherches, en vain.
Seuls quelques pays réussissaient à s'en tirer. Les territoires coupés de tout tels que l'Australie, l'Islande, Madagascar ressemblaient alors à des véritables paradis. Pris d'assaut par les clandestins, ils tentèrent de se protéger de l'extérieur. Des murs furent dressés, la sécurité des frontières renforcées au point qu'il tirait à balle réel sur la foule tentant d'escalader. Cependant le désespoir humain était plus fort que quelques hommes armés. Madagascar sombra à son tour dans le chaos.
Ce qu'on prit véritablement pour une nouvelle chance, ce fut cette annonce à la télé, à la radio et dans les journaux. En fait, l'information était relayée par tous les médias possibles. Vladimir Tcheikev, deuxième plus grosse fortune mondiale avait consacré les cinquante dernières années à la création d'une île indépendante. Une île sans maladie, une terre fertile éloignée des territoires irradiés. Cinq cents personnes allaient être envoyées là-bas dans un premier temps, puis régulièrement de nouveaux dossiers seront sélectionnés.
La promesse était plus que séduisante. Des millions de dossiers furent déposés. En trois jours à peine les cinq cents futurs citoyens étaient choisis. Des citoyens qui, mise à part leur famille qui partait avec eux, n'avaient aucune attache dans les vieilles terres. Une semaine plus tard, ils embarquaient pour l'île. La Colonie, comme les médias l'appelaient.
A l'arrivée là-bas, le rêve tomba à l'eau. La population était triée en caste. Le choix du métier, l'habitation, le nombre d'enfant... Tout était réglementé en fonction. En plus d'être profondément discriminatoire, l'île avait son propre internet, ses propres chaînes, ses propres moyens de communication qui coupaient les habitants du monde extérieur. Il y eut des mouvements de rébellion, mais l'armée de l'île était plus forte, mieux équipée, mieux préparée. Pourtant, ils ne réussirent pas à tuer totalement cette colère que nourrissait le peuple.
De nouveaux citoyens arrivèrent. Certains vinrent grossir les rangs des rebelles, d'autres ceux de l'armée. Les deux camps se faisaient face, défendant chacun les principes en lesquelles ils croyaient. Plus que jamais, la société se retrouvait divisée. Cette véritable guerre civile n'allait pas finir de si tôt.
(Le contexte avant les modifications :
- Contexte V1:
- Contexte Colonie:
- L'Humanité ne pouvait pas avoir d'Happy End. Pour beaucoup, elle ne la mérite pas, après ce qu'elle a fait endurer à cette pauvre planète. Dans le Second millénaire, les accidents nucléaires se sont multipliés, les ressources se sont amoindris et la population appauvrie. Les gouvernements se sont retrouvés confronté à des problèmes sans solution. Les récoltes ne parvenaient plus à survivre dans cette terre aride. La montée des eaux avalait chaque année un peu plus de territoire. Les guerres pour les dernières gouttes de pétrole font des victimes à la pelle, les nouvelles maladies également.
Oui, tout le monde pensait qu'on assistait là à la fin de l'Humanité. La technologie n'était pas assez avancée pour espérer pouvoir déménager l'Homme sur d'autres planètes.
Seul quelques pays réussissaient à s'en tirer. Les pays coupés de tout tels que l'Australie, l'Islande, Madagascar, mais ils étaient pris d'assaut par les clandestins. Madagascar sombra à son tour dans le chaos.
Ce qu'on prit véritablement pour une Happy End, ce fut cette annonce à la télé, à la radio, aux journaux. L'information était relayée par tous les médias possibles. Vladimir Tcheikev, deuxème plus grosse fortune mondiale avait consacrée les cinquante dernières années à la création d'une île indépendante. Pas de maladie, une terre fertile et loin des territoires irradiés. Cinq cents personnes allaient être envoyées là-bas dans un premier temps, puis régulièrement de nouveaux dossiers seront sélectionnés.
La promesse était plus que séduisante. Des millions de dossier furent déposés. En trois jours à peine les cinq cents étaient choisis. Des citoyens qui, mise à part leur famille qui parfait avec lui, n'avait aucune attache dans les vieilles terres. Une semaine plus tard, ils embarquaient pour l'île. La Colonie, comme les médias l'appelaient.
A l'arrivée là-bas, le rêve tomba à l'eau. La population était triée en caste. Le choix du métier, l'habitation, le nombre d'enfant... Tout était réglementé en fonction. En plus d'être profondément discriminatoire, l'île avait son propre internet, ses propres chaînes, ses propres moyens de communication qui coupaient les habitants du monde extérieur. Il y eut des mouvements de rebellions, mais l'armée de l'île était plus forte, mieux équipée, préparée. Pourtant, ils ne réussirent pas à tuer totalement cette colère que nourrissait le peuple.
De nouvel citoyens arrivèrent. Certains virent grossir les rangs des rebelles, d'autres ceux de l'armée. Cette guerre n'allait pas finir de si tôt.
Merci d'avance pour votre aide.
Dernière édition par Mz Eli le Dim 2 Aoû 2015 - 22:41, édité 3 fois