Bonjour,
Tout d'abord je tiens à m'excuser pour ce léger retard, j'ai eu quelques imprévus dernièrement.
A présent, le moment tant attendu est arrivé ! Les votes vont enfin pouvoir débuter aha !
Si jamais vous avez un petit peu oublié le thème du défi ou les règles adéquates, rendez-vous ici.
Comme vous pouvez l’apercevoir, deux participants ont tenté leur chance et ont réussi haut la main ! A vous de voter pour votre texte préféré. ♥
Tout d'abord je tiens à m'excuser pour ce léger retard, j'ai eu quelques imprévus dernièrement.
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- Texte n°1:
- Deviens qui tu es.
Ernest est né en Angleterre, à Oxford le 20/04/97. Le petit vit dans l’aisance avec les deux salaires de ses parents. La mère est professeur de français, latin et grec dans une école réputée dite « royale » et le père est un homme de science travaillant dans un laboratoire à la recherche de moyens pour guérir les maladies graves. La beauté d’Ernest vient de celle de sa mère, il ne ressemble pas du tout au père physiquement qu’il soit bébé ou même plus tard. Peu à peu, le père est devenu absent, la mère qui était dynamique commence à boire un peu trop. Au final, quand Ernest eu sept ans, le père a dévoilé le fait qu’il est perdu son travail il y’a déjà plus d’un an. Le déséquilibre de la famille s’installe, la mère, même avec son salaire ne peut tout faire dans la maison. Elle doit payer, s’occuper de son enfant, faire le ménage, la cuisine, les machines à laver le linge et la vaisselle, les finances, les extras qu’ils espèrent tous mais qui n’arrive jamais… Le couple se sépare et la garde de l’enfant revient à la mère, le père le récupère un week-end sur deux. Quand il atteint sa dixième année, il décide de vivre chez son père, fuyant sa mère qu’il juge taré. La relation avec sa mère est en dent de scie. Au début, au moment où il naît et jusqu’à sept ans, Ernest était son petit chéri, son protégé. Après le divorce, la mère aime toujours autant son ex-mari et se venge sur le petit. Elle ne supporte pas que le père de son enfant l’aime lui et pas elle, d’autant plus qu’il lui ressemble mais en homme. La mère voue une haine incroyable à son seul enfant. Donc le soir de ses dix ans, quand Ernest s’est couché, l’odieuse mère pénètre dans sa chambre et commence à l’étrangler. Son fils qu’elle ne considère comme un rival doit pour elle mourir car selon elle, c’est de sa faute. Une bataille entre la mère et Ernest dans le lit commence, la femme qui a « au cas où » un long couteau de cuisine le sort de sous le lit qu’elle avait caché un peu plus tôt. Ernest réussi à le saisir malgré qu’il se coupe à la main et poignarde la bête déchainé en plein dans son cœur. La couverture se tient d’un rouge meurtrier, le cadavre gisant dessus, le petit coincé sous le poids. Ernest eu peur cette nuit-là, il a poussé sa mère hors du lit et s’est enroulé dans la couverture trempé de sang.*
Le père, qui a le double des clés, trouve en premier son fils qui n’a pas dormi de la nuit. Après c’est la « routine habituel », séances chez le psy’, explications avec la justice, suivit médical… Deux ans après l’accident, Ernest qui n’a plus que deux amis, Hector et Albert car c’est deux enfants aussi ont vécus quelque chose de terrible. Hector est un enfant adopté et Albert vit chez son oncle qui ne l’apprécie pas plus que ça. Malgré tout, c’est trois ensemble souriait gaiment dans les cours de récrés. Un jour, ils décidèrent de s’enfuir tous les trois dans une voiture qu’ils volent à l’oncle d’Hector. Ernest est derrière, Albert qui a un an de plus que les deux autres prend le volant et Hector est à côté de lui. Il tourne la clé, met le contacte, s’en fiche de n’être pas attachés avec la ceinture, et Hector démarre à tout vitesse. Mais il ne faut pas plus de quelques minutes pour qu’ils se fassent repérés par la police. Ils essaient de s’échapper, ils prévoient de partir très loin d’ici, de ne plus revenir et de vivre en paix. Ils rêvent tous d’aller vivre dans un endroit où personne ne les dérangerait, une forêt par exemple. Ils s’imaginent chasser, nager dans un lac, construire une cabane… La voiture quitte la route précipitamment et dévale une pente, finissant sa route dans un tronc d’arbre. Les flics retrouvent les deux de devant mort, sachant qu’ils n’y avaient pas l’air bac et le petit Ernest derrière est inconscient. Tout est allé très vite, des gens braillaient, d’autres restent choqués car cela à fait la une des journaux… A l’hôpital, les médecins disent au père que son fil est dans le coma. Il veille alors nuit et jour sur son fils, abandonnant un peu ses projets de travail. Le père fait mécanicien mais il n’abandonne pas son penchant pour la science. Il décide de trouver quelque chose contre le coma, tentative désespéré. Ernest, dans son coma, croit qu’il est arrivé dans la forêt avec ses amis. Une vie dans un rêve, un rêve long, long de plus de quatre ans, quatre ans de vie irréel.*
Il s’est réveillé. « L’enfant unique du chercheur désespéré s’est réveillé hier soir aux alentours de 21h … » d’après le journal du lendemain. Mais surprise, le petit ne reconnaît pas son père ! Il a oublié sa vie d’avant petit à petit, durant son long rêve et ne se souvient même plus de quoi il rêvait, il sait juste que c’était bien. Il y a une seul chose dont il se souvient, s’être cassé ses jambes. Il refuse de marcher car selon lui ses jambes sont cassées ! Le beau jeune homme doit réapprendre et rattraper son retard immense. Suivit de près par les médecins et le psy’, il rattrape en un an son retard car Ernest est un être intelligeant et bien entouré en plus d’être beau. Ernest est différent de ce qu’il était autrefois. Les médecins disent que c’est parce qu’il est en fauteuil roulant qu’il est devenu plus sage et raisonnable. La réalité est tout autre. Ernest a développé sa schizophrénie et le Ernest d’avant est devenu Lust, sa double personnalité à prit sa place, née le jour de son éveil. Sa vie est devenu un enfer, il n’arrive pas à marcher et un « démon » qui est le vrai Ernest abrite son esprit. Malgré ça il plait, il plait beaucoup aux gens par son apparence. Il n’a pas de mal à se refaire une vie malgré son handicap. Un soir, alors qu’ Ernest allait se coucher avec l’aide d’un assistant assez mignon, Lust prend sa place et se lève ! Lust marche et est libre de ses mouvements, il couche avec l’assistant après l’avoir dragué. Lust est un poison éclatant qui fait succomber n’importe qui. Ernest tante de faire un accord avec lui qu’il passe avec succès. La plupart de temps, se sera lui qui « vivra » et quelques soirs seulement Lust peut « renaître ». Une dure affaire qui ne se passe pas sans mal. Et c’est ici que commence réellement l’histoire d’Ernest et de Lust.
- Texte n°2:
- J'ai dix ans et je viens de tuer ma sœur. Je viens de la tuer et tout ce que j'éprouve, le seul son que j'ai produit quand mes parents m'ont découvert, c'est un éclat de rire. Je n'ai pas su m'arrêter de rire, sous leurs yeux stupéfaits, et me voila en psychiatrie. Psychopathie, disent les docteurs.
Avant sa naissance, j'étais un enfant normal, saviez-vous ? Toujours prêt à rendre service à mes parents, à me montrer serviable et prévenant. Puis un jour le drame est arrivé. Ma mère s'est retrouvée enceinte, trois ans après ma naissance. Au début, je me sentais fier d'avoir une petite sœur, je répétais tout le temps que j'allais bien m'occuper d'elle, jouer avec et me comporter comme un grand frère protecteur.
Quand elle est venue au monde et que mes parents se sont plus occupés d'elle que de moi, un sentiment intense de jalousie et de fureur mélangées m'ont envahi. Comment un bébé si petit peut se montrer si bruyant et retenir toute l'attention ? Alors pour qu'on s'occupe de moi comme avant, je me suis mis à faire des bêtises, en me disant simplement que mes parents reviendraient vers moi, mais non. Ils étaient trop occupés à s'extasier devant un bébé pleurnichard.
Les années ont passé et mon aversion pour ma sœur ne s'est pas modifiée. Toujours à trainer derrière moi à me demander si je veux jouer avec elle. Comme si je voulais jouer à des jeux de Barbie débile ! Comme si je m'intéressais à un truc de fille même pas de mon âge. Je suis pas son baby-sitter. Puis un jour, l'idée de me débarrasser d'elle m'a traversé l'esprit.
J'ai attendu que mes parents sortent faire des courses et j'ai mis mon plan à exécution. J'ai versé de la mort-aux-rats, celle qu'on utilisait pour les rats, planquée dans la cave, et j'en ai versé dans son verre de jus d'orange. J'ai joué le frère attentionné et lui ai servi un petit-déjeuner au lit. Elle paraissait tellement contente, jusqu'à ce qu'elle boive son jus d'un trait, sans se douter de l'issue fatale. Je souriais de plus en plus en voyant son visage minable virer au bleu et elle s'étrangler, les yeux écarquillés de terreur et d'incompréhension.
C'est à ce moment précis que mes parents ont déboulé dans la chambre, alertés par le fracas du plateau sur le sol de la chambre. Ils se sont tournés vers moi, muets d'horreur, sans même penser à appeler le SAMU. Ce doit être à ce moment-là que j'ai éclaté de rire comme un dément.
✘ Étant donné que j'ai été légèrement en retard, les votes s'achèveront le samedi 21 mars.
✘ Chaque participant sera récompensé de 4 points d'XP et le vainqueur en gagnera 6 de plus.
✘ Je remercie ceux ou celles qui voteront pour ce défi et bien entendu, nos deux participants. ♥