Mais si me le permet j'aimerais modifier deux trois trucs, histoire que ça soit cohérent avec ce que je m'était imaginé :) Pour les fautes, t'inquiète pas, je suis bien pire, tu va le voir tout de suite XD
Ce soir quelque chose est différent. Je ne saurais dire quoi. La tête me tourne et ce souvenir m'obsède. L'horreur, la peur la douleur. Il s'impose à moi comme si il voulait que je le vois, que je prenne conscience de sa présence. Je dois aller dormir, ne serait ce que pour sortir un instant de ces atroces pensées qui me hantent. Je ne comprend pas. Pourquoi ce soir précisément? ...Je veux dormir, je veux dormir ... Alors je me couche et je m'endort. Pour une fois que je m'endort rapidement, si j'en étais conscient, je suis sur que cela me ferait plaisir.
Mes yeux s'ouvrent d'un coup. Mon Dieu, mais où suis je? Autour de moi, tout est propre, lavé, magnifique. Et pourtant on dirait que c'est à l'abandon. C'est surement un rêve. C'est si réel pourtant ... Je me relève, hésitant, quel est cet endroit qui m'entoure? Puis une question, une question étrange qui me taraude. Qui suis je? Ah oui, tiens, c'est vrai. Je ne sais pas qui je suis. Je ne me souviens de rien. C'est atroce ce mal à la tête qui me prend. Comme si mon crâne aller exploser. Ah si, un souvenir me reviens maintenant. Quelle horreur! Je dois oublier cela, tout de suite, immédiatement! C'est impossible, cela ne veut pas partir de ma tête. Serait ce moi? Serait ce un souvenir? Impossible! On ne peut vivre ça sans flancher, on ne peut vivre ça sans souhaiter mourir.
Mais pourquoi es ce que je ne me souviens que de ça? Que m'arrive t-il? Pourquoi CE souvenir? Pourquoi lui? Pourquoi moi? Me relevant d'un seul coup, je me met à courir dans les couloirs de cet étrange établissement. Puis, voyant à quel point le sol devient accidenter, je marche, doucement, pesant chacun de mes pas, cherchant .... cherchant quoi au fait? Un échappatoire? Une réponse? D'autres souvenir pour me dire qui je suis, qui j'ai été? Je ne sais même pas dans quelle direction je marche. Et ce souvenir qui me possède, qui m'obsède. Sortez moi de là. Pitié. Au secours.
Puis des voix, des éclats de voix, un rire nerveux, quelqu'un qui s'avance. Je me crispe. J'ai peur. C'est une femme. Grande. Blonde. Elle me dit quelque chose mais je ne saurais la situer. Elle me souris, sourire se voulant rassurant. Moi, il me terrifie.
-Qui êtes vous?
-Je ne sais pas. Et tu ne sais pas. Personne ne le sait.
Ces paroles me firent frissonner. Qui étais ce? Des gens apparaissaient derrière elle. Le visage torturé, pleins de gouttes de sueurs, effrayés. Je sursautais. Qui étaient ils? Elle rigola face à mon air effrayé.
-Bienvenue dans le jeu.
-Le jeu? Quel jeu?!
-...Si seulement je savais...
Sur ces paroles, elle s'en va avec les autres, plus loin, ils reprennent leurs acitvité. Cet endroit paraît torturé de douleur et de peur à première vu. Toute fois, il y a des gens. Il y'a des gens dans la même situation que moi, et il y'a des gens... Différents. Ils portes des uniformes blanc, pareil à ceux des médecins. Ils ot l'air serein, apaisé, mais ils ont l'air térriblement vide. Ils me sourit, mais leur sourire sont forcé. Ils ne viennent pas du coeur.
J'appris plus tard que j'étais dans un hôtel. Que ces gens en blouse sont des personnes qui s'occupent de nous. Ils nous servent à manger, nous font nos chambres, néttoit l'hôtel... Mais ils ne répondent pas à nos questions concernant "ce jeu". Ils ne peuvent nous parler seulement de l'endroit ou nous sommes. Je crois qu'eux non plus ne se souviennent de rien... Comme nous tous : Prénom, nom, age... Sauf qu'eux non pas l'air de souvenir d'un passage précis de leur vie, ils n'ont pas l'air éffrayé.
J'apprend aussi qu'il faut faire attention, lorsqu'on s'aventure seul dans les couloirs de l'hotel... Quand je demandais ce qu'il s'y passait pour que personne n'ose s'aventurer dans ceux ci seul, personne ne me répondait. Il lançait tous un regard vers Jill. Jill ... la grande blonde, la forte, celle qui structurait toute cette petite équipe. Petite équipe j'ai dit? Dans l'hotel j'ai souvent vu des groupes de gens passer. Tout le monde à son groupe, ça se fait naturelement, comme ça... Les groupes se parlent rarement, même si on est pas ennemi. Nous sommes justes... Des moutons. Des moutons sans souvenirs ou presque, égaré, qui ne savent que leur prénom et leur nom, ce qui ne sert pas à grand chose ici...
Jill, pourtant elle était comme nous, terrifiée, effrayée, hantée par ce souvenir et ne connaissant rien d'autre de son passé. Ces mots qu'elle m'avait dit n'avait cesser de me tarauder. Le jeu ... Et quel jeu? Elle ne savait pas non plus. Personne ne savait après tout... Ce fut une nuit que je n'aurais pus situer que je commençais à comprendre :
-2 et 2 ... 4. Jill aux oubliettes!
Je sursaute et me redresse de mon lit. Cette voix à sonner comme un écho dans ma tête. Je passe la tête hors de ma chambre, les autres font la même chose. On se réunis. On à peur. Qu'est-ce que c'était? L'un des plus encien tremble plus fort et regarde partout autour de lui. Je passe ma main sur son épaule. Il la prend soudainement de la sienne et me regarde avec un visage térrorisé.
-Ils l'on eu... Ils l'on tué...!
-Quoi? Qui?
On va à la recherche de Jill. Elle n'es pas dans sa chambre. On la cherche alors dans l'hôtel. Ou est elle donc passé? Au final, on arrive dans l'entrée de l'hôtel. On stop. Jill, elle est là. Au mileu. Au milieu d'une flaque de sang... De son propre sang. Jill était morte, un poignard planté dans le ventre. Personne ne comprend. Sauf les enciens qui ne disent rien. Sachant que Jill n'est pas la première, et qu'elle ne sera pas la dernière. Ils nous explique : Lorsqu'on sort seul dans les couloirs, on est confronté à nos pire cauchemard. Notre pire souvenir qui devient reel. Physique pour certains, autre chose pour d'autres. Ca différe. Ce qui est sûr, c'est qu'on peux se sauver, si on affronte son cauchemard ou qu'on fuit à tant. Dans le cas ou on ne pourrait rien faire... On meurt. Tuer par notre propre souvenir. C'est un jeu mortel.
Je compris tout ceci lorsque ce fut mon tour d'arpenter les couloirs seul : Le couloir était froid ... sombre. Très vite je me précipitais vers un autre couloir. Je suis perdu? Peut être. Je suis nouveau, et seul, c'est un vrai labyrinte. Mais j'entendis des pas derrière moi. Des pas et un souffle rauque, horrible. Je me retournais, dans l'espoir de voir un de mes camarades et hurlais, hurlais de tout mes poumons, de toute mes forces. Il était là ... Cet homme qui hantait mes nuits, qui hantait mes rêves, qui hantait ma vie, celui qui avait tenter de me tuer. L'homme de mon souvenir, celui qui le rendait si atroce, la seule personne dont je me souvenais, la seule personne d'avant... J'eus beau courir, je ne pus jamais le distancer et la balle s'enfonça dans mon coeur dans un horrible concert de hurlement. Tout était froid. J'étais mort.
Et c'est ainsi qu'ils meurent puis que d'autres arrivent. Tous hantés par un souvenir inimaginable. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'ils se connaissaient avant. Tous pensionnaires du même hôpital. Ce n'était pas un hôpital pour les malades gravement atteint, c'était le genre d'hôpital qui vous garde juste quelques années, assez pour surmonter les chocs émotionnels les plus traumatisants. Mais Ils n'en avaient pas décider ainsi. Ils voulaient s'amuser. Qui c'était? Personne ne le sait. Ils les envoyaient dans un monde parallèle, s'amusant un peu avec eux avant de les balancer aux oubliettes, de les tuer.
Rapport de Police :
Jill Jenkins, femme de 43 ans, retrouvée morte poignardée
Personne ne peut déterminer avec précision la cause de la mort de cette jeune femme de 43 ans, internée depuis peu dans un hôpital psychiatrique pour cause de choc émotionnel. Un agresseur l'avait violer avant de la poignarder violemment, elle s'en était sortis par miracle et peu après sa guérison, avait été interné dans cet hôpital. Le personnel médical s'accorde aujourd'hui pour dire qu'elle était en voie de guérison. Malgré toutes les apparences, il semble qu'elle soit morte avant de se recevoir ce coup de couteau, précisément là ou l'agresseur l'avait poignarder la dernière fois. Les médecins légistes pensent qu'elle est morte d'une crise cardiaque, provoquée par la peur selon les traits de son visage. Ne voulant pas plus s'étendre sur l'affaire devant des journalistes, ils nous ont demander de quitter les lieux sans nous laisser prendre une seule photo.
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