• Hello les people d'NU, du flood surtout =)
J'aimerais faire appel à votre sympathie réputée (Mouahah,chers sujets du Floodland, votre reine a parlé xD).
Voilà, il y a deux soirs de cela, j'ai décidé d'écrire une histoire... assez vague, hum, disons. Je l'ai intitulée Divagations, pour cette même raison.
J'aimerais donc des avis, des commentaires et, dans la mesure de votre possible, constructifs xD
NB : Texte inachevé... bien sûr, y'aura une suite xD
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J'aimerais faire appel à votre sympathie réputée (Mouahah,chers sujets du Floodland, votre reine a parlé xD).
Voilà, il y a deux soirs de cela, j'ai décidé d'écrire une histoire... assez vague, hum, disons. Je l'ai intitulée Divagations, pour cette même raison.
J'aimerais donc des avis, des commentaires et, dans la mesure de votre possible, constructifs xD
NB : Texte inachevé... bien sûr, y'aura une suite xD
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». Les heures qui défilaient alourdissaient, minute après minute, le poids de mes paupières. Les secondes s'éternisaient en crescendo et il me devenait impossible de suivre ses mouvements d'allers-venues sans que mon regard las ne chavire vers le sommeil inconditionnel. Mes oreilles étaient sourdes d'avoir trop écouté, mais ce fut certainement mon regard qui souffrait le plus de cet ennui interminable. Le silence était digne de ceux des messes, alors qu'un vieux prête moche et radoteurs racontent des passages que tous connaissent déjà. Je ne pouvais plus lutter et je laissa aller mon esprit s'en aller naviguer dans les larges méandres du royaume des songes.
Il y eut d'abord un désert. Je ne trouvai trace d'être humain, mais pourtant, les lieux m'étaient familiers. Ma salle de classe, qui m'avait paru si ennuyeuse il y a quelques instants, s'avérait davantage inquiétante à présent. Je ressentais d'étranges ondes négatives tourbillonner autour de moi, comme si elle venaient s'emparer de mon âme, y laissant la peur, l'angoisse, l'anxiété, ... la solitude.Je n'y voyait plus la sympathie engageante habituelle qui y régnait, et je dut avouer que j'en frissonnais, car je n'avais personne.
Un grincement raya l'harmonie malsaine du coin et rendit l'atmosphère équivalente à de bon vieux films d'horreurs, que l'on regarde et qui nous font peur., alors que nous savons très bien que ce n'est qu'une bande de film qui déroule devant nos regards avides d'effrois.J'étais ici, à mon grand regret, dans l'inconscience de mon rêve, ou de mon cauchemar. "On" me lévita jusqu'à l'extérieur et j'atteris dans le couloir sombre qui donnait sur un escalier long, interminable et abasourdissant.Il y faisait noir et froid, glacial, silencieux, ... en un mot, lugubre serait le mot idéal à la description résumée. Je voulu reculer pour rebrousser chemin jusqu'à la première pièce, que je jugeais nettement plus chaleureuse, bien qu'elle n'était pas non plus des plus avenante. L'allure sale et morne était déprimante. Qu'était-il donc arrivé au monde ? Il n'y avait ni vie, ni trace de vie. Les murs étaient sales et emplis de poussières, de toiles d'araignée, et loin d'avoir été repeints récemment. Je décelai la trace d'un interrupteur, vieux. Les néons ne réagissaient pas alors que je m'énervai sur l'engin. Je me dit que je venais probablement d'entrer dans un manoir des plus effrayant, sans doute, même si cela me semblait irréel.Je commençai à me douter de l'abstrait de mon aventure.
Un vent glacial sortit de nulle part fouetta mon visage. Je fermai les yeux pour éviter la bourrasque, qui d'ailleurs, n'avait rien à faire dans un bâtiment fermé. Aussitôt que j'eus réouvert les paupières, s'entraperçut un nouveau monde. Je me trouvai dans une cour qui, quant à elle, ne semblait pas appartenir à la précédente scène. Je ne savais pas où j'étais, du moins, je ne voulais pas savoir. Mon passé voulut s'immiscer jusqu'à moi pour m'expliquer avec précision les détails de l'emplacement, mais je m'y refusa et tenta de maitriser ma prochaine destination, qui, comme à l'accoutumée, se ferait dans la solitude la plus déprimante.